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LE COLOMBES QUE J'AIME

cuisine

COLOMBES emplois : le médiatique chef Norbert TARAYRE cherche une équipe pour son restaurant

26 Juin 2017, 16:58pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

COLOMBES emplois : ouverture prochaine du Bistrot de Paris par le médiatique chef Norbert TARAYRE

Norbert cherche une équipe pour l'ouverture de son prochain restaurant

Saperlipopette RH

23 rue Edouard Nieuport

92150 SURESNES

ou recrutement@saperlipopette1.fr

Le médiatique chef Norbert Tarayre, candidat de l'émission Top Chef sur M6, animateur d'émissions de télévision, show-man, emblème des restaurants Saperlipopette à Puteaux, Ma Caille à Suresnes, étend son territoire culinaire par la reprise avec ses partenaires financiers du Bistrot de Paris à Colombes, une institution locale.

D'importants travaux sont en cours pour une ouverture prévue en juin 2017. A suivre...
Le Bistrot de Paris - 3, place du Général Leclerc - 92700 Colombes

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@free.fr

@ilovecolombes

COLOMBES emplois : ouverture prochaine du Bistrot de Paris par le médiatique chef Norbert TARAYRE
COLOMBES emplois : ouverture prochaine du Bistrot de Paris par le médiatique chef Norbert TARAYRE
COLOMBES emplois : ouverture prochaine du Bistrot de Paris par le médiatique chef Norbert TARAYRE

COLOMBES emplois : ouverture prochaine du Bistrot de Paris par le médiatique chef Norbert TARAYRE

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Colombes : Jean-François Bury, la vie après « Top Chef »

4 Avril 2017, 17:12pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Colombes : Jean-François Bury, la vie après « Top Chef »

Il est sorti mercredi soir de l’émission « Top Chef », sur M 6, aux portes des quarts de finale. Pour autant, Jean-François Bury est déjà tourné vers la suite : ses nouveaux challenges, la défense de son art ou encore sa vie personnelle. C’est avec l’étoile de champion du monde de traiteur 2015 cousue sur son tablier blanc que « JFB » nous accueille dans les locaux du traiteur de luxe Butard Enescot à Colombes, sa nouvelle maison en qualité de chef de la création.

« Je conçois les créations avec mon équipe, on les valide ensemble et on les soumet à la directrice. Elle a le dernier choix », explique-t-il. Dans un style qu’il décrit lui-même « entier et transparent », comme pour mieux réserver la primeur de ses émotions à son terrain de jeu : l’assiette. Le chef possède aujourd’hui deux casquettes : celle d’un personnage reconnu dans le microcosme de la gastronomie, mais également celle du candidat télé.

« Ils m’ont mis dans un rôle maladroit assez sympathique »

Une expérience dont il estime qu’il est encore trop tôt pour mesurer les retombées. « Ça apporte un peu de visibilité sur les réseaux sociaux et quelques contacts, juge-t-il sans sourciller. Les professionnels sont contents de l’image renvoyée, c’est leur avis qui m’intéresse ». Avant d’ajouter, d’un air rieur : « vu ma droiture, j’avais peur d’être le psychorigide mais ils m’ont mis dans un rôle maladroit assez sympathique. »

Droit, le natif du Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) l’est assurément, lui qui prend très à cœur son métier de traiteur de luxe. « Je veux redorer son image, lance-t-il. Cette fonction est connotée péjorativement, on nous différencie du reste des cuisiniers ». Quand on lui demande de décrire ce qu’est un traiteur, il répond : « un cuisinier qui s’adapte au volume. Mon but, c’est d’effacer les frontières dans l’assiette et qu’on ne reconnaisse plus le traiteur mais quelque chose digne d’un restaurant gastronomique. »

Il vise désormais le titre de meilleur ouvrier de France

Ca tombe bien : JFB en a fréquenté plus d’un. Il commence en effet sa carrière au George-V où il reste neuf ans, puis il file dans les cuisines du Shangri-La pour cinq ans. C’est alors qu’il se lance dans les concours de traiteurs : il remporte le Championnat de France en 2014, accessit pour représenter le pays au concours international. Et le voilà gagnant, l’année suivante, du tournoi international à Lyon.

Jean-François Bury ne compte pas s’arrêter là : il se projette déjà pour le prestigieux concours de meilleur ouvrier de France. Il dévoile même son envie d’ouvrir son restaurant à l’avenir, sans toutefois s’enflammer : « il faut des investisseurs qui croient en moi, c’est le nerf de la guerre ».

  leparisien.fr

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine>Colombes|Walid Kachour|31 mars 2017, 15h51

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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