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LE COLOMBES QUE J'AIME

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COLOMBES emplois : le médiatique chef Norbert TARAYRE cherche une équipe pour son restaurant

26 Juin 2017, 16:58pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

COLOMBES emplois : ouverture prochaine du Bistrot de Paris par le médiatique chef Norbert TARAYRE

Norbert cherche une équipe pour l'ouverture de son prochain restaurant

Saperlipopette RH

23 rue Edouard Nieuport

92150 SURESNES

ou recrutement@saperlipopette1.fr

Le médiatique chef Norbert Tarayre, candidat de l'émission Top Chef sur M6, animateur d'émissions de télévision, show-man, emblème des restaurants Saperlipopette à Puteaux, Ma Caille à Suresnes, étend son territoire culinaire par la reprise avec ses partenaires financiers du Bistrot de Paris à Colombes, une institution locale.

D'importants travaux sont en cours pour une ouverture prévue en juin 2017. A suivre...
Le Bistrot de Paris - 3, place du Général Leclerc - 92700 Colombes

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@free.fr

@ilovecolombes

COLOMBES emplois : ouverture prochaine du Bistrot de Paris par le médiatique chef Norbert TARAYRE
COLOMBES emplois : ouverture prochaine du Bistrot de Paris par le médiatique chef Norbert TARAYRE
COLOMBES emplois : ouverture prochaine du Bistrot de Paris par le médiatique chef Norbert TARAYRE

COLOMBES emplois : ouverture prochaine du Bistrot de Paris par le médiatique chef Norbert TARAYRE

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Le vote électronique, trop vulnérable pour les élections politiques?

20 Avril 2017, 17:45pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Le vote électronique, trop vulnérable pour les élections politiques?

Vanté par certains, décrié par d'autres, le vote électronique peine à s'installer pour des raisons de sécurité. Le gouvernement vient de renoncer à l'autoriser pour les Français de l'étranger aux législatives de juin, invoquant le risque de cyberattaques.
Le vote électronique est un système de vote dématérialisé. Le terme désigne aussi bien le vote par internet que les machines à voter. Installées dans une soixantaine de villes françaises, celles-ci pourront être utilisées pour la présidentielle et les législatives.
La France, qui n'a jamais permis le vote par internet à une présidentielle, l'avait autorisé pour les Français de l'étranger lors des législatives de 2012 et pensait le faire également en juin 2017. 
Mais la semaine dernière, le Quai d'Orsay a décidé d'y renoncer. Les Français de l'étranger devront se rendre aux urnes, ou bien voter par procuration ou par correspondance.
Une décision prise après un avis négatif de l'ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes informatiques) sur la résistance de la plateforme de vote. Et compte tenu du "niveau de menace extrêmement élevé de cyberattaques", a justifié le Quai d'Orsay.
La plateforme "était clairement meilleure qu'en 2012, mais le niveau de la menace est aujourd'hui bien supérieur", a expliqué Guillaume Poupard, directeur général de l'ANSSI, au site Next INpact. 
Balayant "la prétendue menace de cyberattaques", François Fillon, le candidat de la droite à la présidentielle, a jugé cette décision "scandaleuse". Le gouvernement "change les règles du jeu démocratique à trois mois du scrutin", a-t-il dit.
Axelle Lemaire, qui vient de quitter son poste de secrétaire d'Etat au numérique pour rejoindre le candidat socialiste Benoît Hamon, y a vu "plus qu'un fiasco, un déni démocratique".
Toutefois, des spécialistes du vote électronique interrogés par l'AFP ne se montrent pas étonnés.
- Déni de service -
"Cette décision ne me surprend pas", déclare Steve Kremer, chercheur à l'Inria (Institut national de recherche en informatique et en automatique). "Une des craintes, ce serait que l'on puisse empêcher les Français de l'étranger de voter en bloquant l'accès au service" (attaque par déni de service).
Autre risque potentiel: celui que le vote de l'électeur soit modifié à son insu. "Il voterait pour le candidat A mais un logiciel malveillant qui aurait contaminé son ordinateur changerait son choix en B, de façon indétectable", explique Steve Kremer.
Lors des législatives de 2012, un ingénieur français habitant à l'étranger avait démontré qu'un tel acte de piratage était possible.
"A l'heure actuelle, il n'existe pas de solution de vote électronique suffisamment sûre pour des élections politiques à enjeu très fort, du type présidentielle ou législative", considère Véronique Cortier, chercheur CNRS au Laboratoire lorrain en recherche informatique Loria.
- Des machines à voter critiquées - 
Le vote électronique sera en revanche utilisé dans certaines communes via des machines à voter agréées et installées dans les bureaux de vote.
A l'abri des regards, l'électeur est devant une machine qui affiche les différents bulletins dématérialisés. Il n'a qu'à cliquer sur celui de son choix et à valider.
L'avantage c'est qu'il n'y a plus de dépouillement de bulletins papier ni de risques d'erreurs de comptage, ni de votes nuls, vantent les partisans de cette méthode.
Utilisées en France lors de la présidentielle de 2007 dans quelque 80 villes, ces machines avaient suscité des polémiques sur leur niveau de sécurité et une certaine défiance. Le ministère de l'Intérieur avait alors décrété un moratoire sur l'implantation de nouvelles machines, toujours en vigueur.
Certaines communes détentrices d'une de ces machines coûteuses (environ 5.000 euros) ont renoncé à s'en servir.
Mais 64 continuent à les utiliser (1,3 million d'électeurs concernés) et pourront le faire pour la présidentielle et les législatives. Parmi elles, des villes comme Brest, Issy-les-Moulineaux, Antony ou Rosny-sous-Bois.
"Nous demandons la levée du moratoire afin de permettre aux villes déjà équipées de machines de moderniser leur matériel et à de nouvelles villes d'adopter cet outil", déclare à l'AFP Claude Capillon, maire (LR) de Rosny-sous-Bois et président de l'Association des Villes pour le Vote électronique.
Utilisé aux Etats-Unis, le vote électronique est rejeté par plusieurs pays européens notamment l'Allemagne, l'Irlande, la Norvège, les Pays-Bas. Il est en revanche employé depuis plusieurs années par l'Estonie.

>L'actu>Politique|17 mars 2017, 10h28|

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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vote électronique colombes

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Colombes : la maladresse de la Maire LR de Colombes

23 Mars 2017, 12:39pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Colombes : la maladresse de la Maire LR de Colombes

Depuis plusieurs mois le 1er magistrat de la ville ne cesse d'invectiver l'opposition PS et le gouvernement de François HOLLANDE, à travers le Député Alexis BACHELAY, (campagne d'affichage, article dans Colombes le mag etc...) concernant la baisse des dotations d'Etat.

Cependant, c'est oublier que le challenger de Madame le Maire et de son équipe municipale, pour la présidentielle : M François FILLON , a précisé dans son intervention de la veille devant les maires de France, qu'il diminuera d'avantage les dotations de l'Etat.

Le problème en politique, c'est que l'on peut vite être rattrapé par ses propres Démons ...

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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Colombes : la maladresse de la Maire LR de Colombes

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Colombes : plus de place pour les élèves de Jeanne d’Arc

22 Mars 2017, 18:50pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

 

Colombes : plus de place pour les élèves de Jeanne d’Arc
>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine>Colombes|Victor Tassel|20 mars 2017, 17h10|

 

Les quelque 3 700 élèves ont besoin de place. L’Institution Jeanne d’Arc, établissement privé le plus fréquenté de Colombes, et l’un des plus importants du département, a entamé à la fin d’année dernière de lourds travaux. L’école, qui s’est agrandie au fur et à mesure des décennies, doit se mettre aux normes d’accessibilité. « Nos bâtiments sont vieillissants, certaines salles sont inadaptées. Nous avons besoin de nous mettre en conformité » explique François de Chaillé, directeur diocésain de l’enseignement catholique.

Le gros morceau est la construction d’un nouveau bâtiment d’environ 1400m², qui donne directement sur le boulevard de Valmy. Il comportera douze nouvelles classes, un grand préau en rez-de-chaussée dans la continuité de la cour de récréation, et une salle de sport souterraine avec vestiaires. Le reste consiste à « repenser la circulation » entre les différents bâtiments existants.

A première vue, cela ressemble à une extension pour accueillir plus d’élèves, alors que l’école refuse plus de 500 candidatures chaque année. « Aucune ouverture classe n’est prévue, assure pourtant François de Chaillé. C’est une reventilation et un réaménagement des effectifs ».

Le bâtiment sera livré à la fin de l’année, et opérationnel au premier trimestre 2018, précise l’architecte du projet Philippe Bourillet. L’enveloppe totale pour les travaux s’élève à 11 M€. Pour les financer, l’institution s’appuie sur 3 M€ d’autofinancement, et 7,5 M€ d’emprunts. Le reste provient de subventions du conseil départemental pour le collège, et de la région pour le lycée. Ces travaux ne constituent qu’une première phase. « Il y a neuf bâtiments sur site. Il nous en restera encore quatre ou cinq à réhabiliter » explique l’architecte. La deuxième partie du réaménagement interviendra « d’ici cinq ans », mais tout dépendra des fonds de l’institution.

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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Colombes : plus de place pour les élèves de Jeanne d’Arc

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A Colombes, les mairies de proximité deviennent « maisons de service »

22 Mars 2017, 18:24pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

A Colombes, les mairies de proximité deviennent « maisons de service »

Les deux mairies de proximité de Colombes vont être labellisées Maisons de service public et étendre leurs compétences. 

 

Plus de proximité pour plus d’efficacité. Ce jeudi, le conseil municipal de Colombes votera une délibération qui vise à labelliser ses deux mairies de proximité, celles du Petit-Colombes et des Fossés-Jean Gare du stade, comme « maisons de service ». C’est la première ville des Hauts-de-Seine à franchir le pas. « Nous sommes très fiers, se réjouit Nadia Frontigny, adjointe (LR) à la démocratie locale, par ailleurs candidate aux prochaines législatives. Cela montre la qualité de nos mairies de proximité ! »

En se transformant en maisons de services, les mairies de quartier verront leurs compétences élargies à partir du mois de mai. Les agents municipaux seront habilités, par une convention, à offrir un accompagnement relevant de l’emploi, la santé, la retraite et les allocations. Ainsi, quatre organismes publics sont partenaires : Pôle emploi, la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM), la Caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV) et la Caisse d’allocations familiales (CAF). Prise de rendez-vous, aide à la constitution d’un dossier, renseignements, orientation… Les prochaines maisons de service public feront office de premier accueil. Des postes informatiques seront également installés pour « réduire la fracture numérique ».

 

 

 

« Ici, il y a encore des rapports humains et une prise en charge personnalisée »

Mais c’est loin d’être une révolution. Des permanences, de la CNAV notamment, avaient déjà lieu dans les deux structures. « En réalité, ce sont des services que nos agents offrent déjà, assure Nadia Frontigny. Cette labellisation et la convention permettent de donner un cadre plus ferme aux échanges, et de reconnaître le travail du personnel. » Reste que leurs missions seront approfondies et iront plus dans le détail. Pour accompagner cette mutation, les agents seront formés, « pendant quelques jours », notamment pour maîtriser les logiciels des différents organismes.

Une charge de travail supplémentaire que les agents municipaux de la mairie de quartier des Fossés-Jean accueillent avec « joie » et « fierté ». « Moi j’aime bien la nouveauté, sourit cette hôtesse d’accueil. Du moment que l’on rend service, c’est une bonne idée. C’est un plus pour les habitants et nous pourrons mieux répondre à leur demande. » Et à sa collègue d’ajouter, amusée, « nous étions déjà polycompétents, mais alors là ! ».

De quoi ravir aussi les habitants, qui pourront éviter les files d’attentes interminables et les déplacements à rallonge. « C’est positif ! Cela facilite nos démarches et les rend plus agréables, se félicite Brahim, 40 ans. Ici, il y a encore des rapports humains et une prise en charge personnalisée ».

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine>Colombes|Victor Tassel|22 mars 2017, 15h10

  leparisien.fr
 

Lionel FAUBEAU
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A Colombes, les mairies de proximité deviennent « maisons de service »

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