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LE COLOMBES QUE J'AIME

expulsion

Expulsion d'une famille Colombienne d'un pavillon pour installer le Leclerc temporaire : une procédure au profit de Leclerc ...

18 Mai 2019, 13:40pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Expulsion d'une famille Colombienne d'un pavillon pour installer le Leclerc temporaire
Expulsion d'une famille Colombienne d'un pavillon pour installer le Leclerc temporaire
Expulsion d'une famille Colombienne d'un pavillon pour installer le Leclerc temporaire

Expulsion d'une famille Colombienne d'un pavillon pour installer le Leclerc temporaire

Expulsion d'une famille Colombienne d'un pavillon pour installer le Leclerc temporaire 

C'est M MOYEN, le propriétaire de la Maison qui s'exprime : 

 

"Chers tous,
C’est moi le M. Moyen sur la photo avec sa famille.
Non ce n’est pas vrai, on a pas un mois pour mettre les voiles comme le laisse penser l’accroche de cet article.
Ce qui est vrai c’est la menace juridique d’obtenir un accord sur le montant de l’indemnité sous 30 jours.
Cette menace est soudaine et provient vraisemblablement d’un accord entre la Mairie et le Leclerc. Nous savions que nous allions être expropriés pour le bien public, le préfet avait déclaré la ZAC Charles de Gaulle d’Utilité Publique. Mais aujourd’hui on a un peu l’impression dans l’emballement qu’il s’agit plus d’une Utilité de Leclerc qu’une Utilité Publique.
Il y a presque 10 ans j’ai créé l’Association Les Petits Toits pour aider les futurs expropriés de la ZAC Charles de Gaulle à comprendre à plusieurs l’expropriation, apprendre à mieux la vivre et à mieux  s’en défendre.
Pendant ces dix ans j’ai appris à rencontrer les articles de lois, les gens inquiets,  les élus écoutants ou arrogants (les écoutants se reconnaîtront), mais j’ai aussi vu une chose c’est que plusieurs de nos adhérents sont allés jusqu’au tribunal face à la CODEVAM pour obtenir de 25 à 30% d’indemnité de plus !
En  France nous avons cette chance que la propriété individuelle est très bien défendue.
Il n’en demeure pas moins que nous rentrons dans une période comme sur un bateau qui tangue, sans savoir quand il faudra qu’on parte ?
Comment rester sur colombes aux mêmes conditions avec ce qu’ils nous proposent ? ? Comment va t’on faire pour trouver un nouveau logement au même moment ?
Vas-t-on devoir prendre un prêt-relais ?
et tout le travail que ça va demander, et je parle pas du déménagement ! 
Dommage que ce soit si violent dans la procédure, parce qu’au final c’est pour le bien de Leclerc, heu... Pardon, Public !"

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@gmail.com

@ilovecolombes

Expulsion d'une famille Colombienne d'un pavillon pour installer le Leclerc temporaire
Expulsion d'une famille Colombienne d'un pavillon pour installer le Leclerc temporaire
Expulsion d'une famille Colombienne d'un pavillon pour installer le Leclerc temporaire

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Yassine MELLAS, lycéen à Colombes, doit obtenir un titre de séjour ! L'OQTF du préfet des Hauts-de-Seine doit être annulée !

7 Janvier 2019, 18:08pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Yassine MELLAS, lycéen à Colombes, doit obtenir un titre de séjour ! L'OQTF du préfet des Hauts-de-Seine doit être annulée !

Yassine MELLAS, lycéen à Colombes, doit obtenir un titre de séjour ! L'OQTF du préfet des Hauts-de-Seine doit être annulée !




Yassine MELLAS est arrivé en France il y a plus de 3 ans, et il est pris en charge par son frère, chez qui il réside.


A sa majorité, Yassine a, comme le prévoit la loi, demandé une admission exceptionnelle au séjour à la préfecture des Hauts-de-Seine et il vient de recevoir la réponse : c’est un rejet avec obligation de quitter le territoire français (OQTF) !


Pourtant, Yassine, qui présente tous les signes d’une bonne intégration à notre société, est scolarisé au lycée Maupassant de Colombes depuis la rentrée 2015. Il y prépare un baccalauréat S et a un projet précis de poursuite d’études dans l’enseignement supérieur.
Au vu de son attitude et de son travail scolaire, il bénéficie du soutien de son lycée.


Yassine aurait dû se voir délivrer un titre de séjour, au nom de la bienveillance à laquelle les préfets sont invités quand ils examinent les demandes de titre de séjour des jeunes arrivés mineurs en France et qui y poursuivent des études.


Mais le préfet a décidé de tourner le dos à la bienveillance et sa demande a été rejetée.


Rien ne justifie que son parcours scolaire soit ainsi interrompu de manière brutale.


Nous demandons donc l’abrogation de l’OQTF signée contre Yassine MELLAS et la délivrance du titre de séjour auquel il peut prétendre.


Les recours sont engagés, mais obtenir l'abrogation d'une OQTF n'est pas chose facile. Nous soutenons Yassine et sa famille dans ces procédures avec l'aide de RESF, en charge du dossier. Mais le soutien le plus large possible sera déterminant et les délais sont courts. Nous devons récupérer les signatures avant les vacances.

 

L'ensemble des enseignants du lycée Maupassant a décidé de signer la pétition pour marquer l'engagement de la communauté éducative.

 

vous pouvez diffuser le lien ci-dessous à vos contacts, vos listes mails ou sur les réseaux sociaux

http://www.educationsansfrontieres.org/spip.php?article55910

Vous trouverez également une version papier en PJ

 


Merci à vous pour votre soutien

Bénédicte pour l'UL

Yassine MELLAS, lycéen à Colombes, doit obtenir un titre de séjour ! L'OQTF du préfet des Hauts-de-Seine doit être annulée !

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Nicole GOUETA - Maire de Colombes -Prières de rue à Clichy : le bras de fer se jouera au tribunal à la rentrée

10 Janvier 2018, 18:55pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Prières de rue à Clichy : le bras de fer se jouera au tribunal à la rentrée

C’est désormais devant les tribunaux que le maire de Clichy et l’union des associations musulmanes (UAMC) vont régler leurs comptes. Plusieurs procédures seront plaidées le 4 septembre prochain.

Il ne s’agissait que d’une audience de procédure, mais elle présage de plaidoiries offensives. Ce mardi, la 14e chambre du tribunal de Nanterre a défini la date à laquelle seront examinées les procédures liées aux prières de rue de Clichy, en l’occurrence le 4 septembre prochain. D’ici là, les avocats des deux parties, Me Drai pour la mairie et Me Alimi pour l’Union des associations musulmanes de Clichy (UAMC) vont pouvoir aiguiser leurs arguments. Car dans cette affaire, chaque partie poursuit l’autre pour des motifs différents.

L’UAMC, expulsée le 22 mars dernier d’un local municipal à la suite d’une décision du Conseil d’Etat, avait décidé de protester en organisant chaque vendredi des prières de rue devant la mairie, réunissant plusieurs centaines de fidèles. Jusqu’au 10 novembre, date à laquelle le maire (LR) Rémi Muzeau, organisait une manifestation en écharpes, entouré d’une centaine d’élus pour dénoncer ce qu’il considérait comme un trouble à l’ordre public.

 

 

Une journée entière prévue pour l’audience

Juste avant ce coup de force, qui avait poussé le ministre de l’Intérieur à interdire les prières de rue, l’édile s’était exprimé en direct sur LCI, évoquant notamment « des prêches arabes, des prêches avec des appels au meurtre ». Des propos qui lui valent d’être poursuivi par l’UAMC pour « diffamation et incitation à la haine raciale ». Ce mardi, l’avocat de l’association a précisé que la LDH (Ligue des Droits de l’Homme), le MRAP (Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples) et le CCIF (Collectif Contre l’Islamophobie en France) se constituaient partie civile dans cette affaire.

De son côté, la municipalité poursuit l’association via son président, Mohand Kazed, pour l’organisation non déclarée en préfecture des 34 prières de rue qui se sont déroulées sur le boulevard Jean-Jaurès, puis sur la place du marché, entre mars et novembre 2017. Un sujet complexe puisque même si les rassemblements n’ont pas été déclarés officiellement chaque semaine et donné lieu à un récépissé délivré par la préfecture, ils étaient de fait autorisés et même encadrés par un important dispositif policier.

Il faudra désormais attendre le 4 septembre pour que le maire et le responsable de l’association ne s’expliquent à la barre. « Dans la sérénité », a précisé le procureur de la République, comme une incantation à l’adresse des deux avocats, déjà prêts à plaider et à défendre les intérêts de leurs clients respectifs. De l’électricité dans l’air et quelques piques ponctuées par l’injonction de la présidente. « On ne joue pas aujourd’hui », tentait Florence Lasserre-Jeannin pour détendre l’atmosphère. Avant de prévoir une journée entière pour l’audience de la rentrée.

 

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine|Anne-Sophie Damecour| 09 janvier 2018, 20h17 |

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@gmail.com

@ilovecolombes

Nicole GOUETA - Maire de Colombes  -Prières de rue à Clichy : le bras de fer se jouera au tribunal à la rentrée

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L’Agrocité déménagée de force de Colombes vers Gennevilliers

24 Février 2017, 18:07pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

L’Agrocité déménagée de force de Colombes vers Gennevilliers

Le rideau tombe sur l’Agrocité à Colombes. Menacée d’expulsion depuis deux ans pour y construire un parking de 182 places, la ferme urbaine de la rue Jules-Michelet a finalement été délogée… par la force. Sur ordre du préfet, ce lundi matin, un huissier, accompagné des forces de l’ordre et d’une entreprise prestataire, « a fait inventorier le matériel présent et l’a déménagé à Gennevilliers ».


Sans avoir prévenu ni l’AAA (Atelier d’architecture autogéré) qui gère la ferme urbaine, ni les habitants, ni Gennevilliers qui doit accueillir la structure. Cela fait suite à une décision du Conseil d’Etat prise en octobre, qui avait tranché en faveur de la mairie (LR), à l’origine d’une procédure d’expulsion. « C’est une très bonne chose de faite, dans une affaire qui n’avait que trop traînée, se félicite la maire (LR) Nicole Goueta. Nous ne sommes pas à Notre-Dame-des-Landes et, ici, les décisions de justice sont appliquées ».

« C’est encore un mauvais coup de la mairie, qui choisit le passage en force »


Sauf que l’AAA n’avait pas prévu de partir de sitôt. « Nous étions en train de préparer la relocalisation, avec un travail social mené avec les habitants de Colombes et de Gennevilliers. Et la mairie décide de venir tout détruire comme ça sans prévenir… C’est un scandale », tonne Constantin Petcou, responsable de l’association. Le gérant ne comptait plier bagage qu’à partir du mois de mars, le temps notamment de trouver les financements pour le déménagement à Gennevilliers.

 

 


« C’est encore un mauvais coup de la mairie, qui choisit le passage en force. Personne n’a été prévenu, ils voulaient faire cela en catimini » dénonce le député (PS) Alexis Bachelay. Un choix assumé par la municipalité, qui tenait à ce que l’expulsion soit faite un lundi matin « dans le calme » pour « éviter un grand rassemblement ».

 

« On s’y attache aux poules vous savez, c’est très brutal »


Du côté des habitants, la nouvelle cause des émois. Plusieurs dizaines de personnes se sont rassemblées, à l’appel de l’AAA, ce lundi en fin d’après-midi devant le jardin partagé pour dénoncer les « méthodes de sauvage employées par la mairie ». Une poignée d’entre eux, emmenés par Constantin Petcou, se sont même rendus à pied à la mairie pour « montrer leur détermination ». « On ne s’attendait pas du tout à ça. Il y avait un accord avec Gennevilliers pour un déménagement en mars, où était l’urgence », s’interroge Benoît, qui « s’inquiète » du sort de ses légumes et de ses poules. « Ils ont tout saccagé ! Ce n’est pas un déménagement, mais une destruction », tance un jeune du quartier.

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Plusieurs dizaines de soutiens se sont rassemblés en fin d'après-midi. (LP/V.T.)


Le regard dans le vide, Gislaine Benafekir, assise sur les marches à l’entrée de l’Agrocité, est encore choquée. La retraitée était venue comme chaque matin donner à manger aux poules. Mais à son arrivée elle a été « accueillie par la police qui ne m’a pas laissé entrer, témoigne-t-elle. Les poules étaient déjà parties… ». Elle qui se dit « très mal » fond en larmes. « On s’y attache aux poules vous savez, c’est très brutal », déplore Gislaine, avant de laisser éclater sa colère. « Ce sont les gens dans le besoin qui vont souffrir. Ils venaient ici chercher du réconfort. Nous étions une vraie famille ! »

 

A Gennevilliers, l'accueil dans l'urgence

Ils sont tombés de leur chaise. Le déménagement de la ferme urbaine vers Gennevilliers est acté depuis longtemps - Colombes étant réticent à offrir un autre terrain - mais rien n’était prévu pour réceptionner les cartons dès ce lundi. « Nous n’étions absolument pas au courant. Nous avons reçu un appel le matin même pour nous prévenir, râle-t-on à la mairie (PCF). Rien n’est prêt, nous n’avons eu aucune réunion de travail avec l’AAA… ».


Le terrain prévu rue Jules-Verne pour accueillir l’Agrocité n’étant pas encore disponible, il a fallu trouver une solution d’urgence. Un pavillon, au 9, rue des Collines, avec un double hangar, a été mis à disposition par la ville. « Nous ne voulons pas polémiquer. Notre objectif est pour le moment de sauver la structure pour la réutiliser, et préserver l’avenir », tempère-t-on au cabinet du maire. Les poules, elles, ont été confiées à la SPA de Gennevilliers pendant huit jours et peuvent être récupérées par leurs propriétaires.

  leparisien.fr

 

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine>Colombes|20 février 2017, 13h00 | MAJ : 20 février 2017, 19h36

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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lecolombesquejaime@free.fr

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Langevin wallon colombes : expulsion d'une famille

20 Octobre 2016, 17:50pm

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Langevin wallon colombes : expulsion d'une famille 

 

Lionel FAUBEAU

Président de l'association lecolombesquejaime

site internet : www.lecolombesquejaime.fr

mail : lecolombesquejaime@free.fr

Langevin wallon colombes : expulsion d'une famille

Langevin wallon colombes : expulsion d'une famille

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