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LE COLOMBES QUE J'AIME

hauts de seine

VACAN'SPORTS HAUTS-DE-SEINE oui mais sans Colombes dont la Municipalité se targue d'être une ville "sportive" !

11 Février 2020, 19:00pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

VACAN'SPORTS HAUTS-DE-SEINE oui mais sans Colombes dont la Municipalité se targue d'être une ville "sportive" ! 

 

VACAN'SPORTS HAUTS-DE-SEINE - HIVER 2020

Des activités sportives gratuites pour les 6-17 ans

Du lundi 10 au vendredi 21 février 2020

le Département organise des activités sportives dans le cadre des vacances d'Hiver. Activités GRATUITES ouvertes aux habitants du Département mais bizarrerie ...aucune activité n'est organisée sur notre ville de Colombes qui rappelons le est la ville des JO de 2024...

RIEN sur le Parc LAGRAVERE qui appartient au Département (92) ,

RIEN en activités sportives,

RIEN pour nos jeunes 

Mais que fait la Municipalité ? Il y a pourtant des élus de la ville sur le Département et pas des moindres : Nicole GOUETA, actuelle Maire de Colombes, Vice Présidente du Département, M PERROTEL en charge du sport, Président de la Commission des Sports au Conseil Départemental (ex-Conseil Général)...

Pour une ville qui se veut sportive : ARC SPORTIF, JO 2024, nous pouvons être extrêmement surpris de ne pas voir notre ville au titre de VACAN'SPORT !

 

 

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VACAN'SPORTS HAUTS-DE-SEINE oui mais sans Colombes dont la Municipalité se targue d'être une ville "sportive" ! 

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La Mairie de Colombes Championne du Monde du Couac du carton d'invitation !

1 Septembre 2018, 12:58pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

La Mairie de Colombes championne du Monde du Couac du carton d'invitation !

Le carton d'invitation annonçant la venue du footballeur NZONZI ce 1er septembre à Colombes n'a pas laissé indifférent la Municipalité qui dans la précipitation à oublié de mentionner Patrick DEVEDJIAN Président du Département des Hauts de Seine.

Tiré à plusieurs dizaine de milliers d'exemplaires et distribué à la hâte dans les boîtes aux lettres des Colombiennes et des Colombiens ce couac municipal à dû faire plaisir au Président des Hauts de Seine 

Mais réjouissons nous que pour une fois on ne parle pas de Colombes pour ses fusillades, son couvre feux etc...

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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lecolombesquejaime@gmail.com

@ilovecolombes

La Mairie de Colombes Championne du Monde du Couac du carton d'invitation !

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Hauts-de-Seine : bientôt fini les repas beurk à la cantine du collège ?

15 Mars 2018, 18:39pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

 

Hauts-de-Seine : bientôt fini les repas beurk à la cantine du collège ?

 

Qualité médiocre, quantités jugées insuffisantes… Face aux critiques sur les assiettes des élèves, le département prend de nouveaux engagements. Le prestataire sera renouvelé à la rentrée.

Dans les collèges des Hauts-de-Seine, la cantine n’a pas franchement la cote auprès des élèves… Ni de leurs parents, qui se battent depuis plusieurs années pour du changement.

Ils devraient être servis à la rentrée prochaine. Car l’appel d’offres visant à choisir le prochain prestataire de restauration sur la période 2018-2022 vient d’être lancé. Et le conseil départemental annonce avoir imposé, dans son cahier des charges, l’intégration d’une labellisation bio par les candidats.

Le collectif « Une bonne restauration pour tous », créé par des parents de collégiens, avait justement lancé une pétition pour réclamer la mise en place d’un label, proposant le nom d’Ecocert,leader de la certification en agriculture bio en France.

Au moins 20 % de bio et 5 % de local dans les assiettes

« Quand nous avions lancé la précédente délégation de service public, on parlait moins de circuits courts, de labels… reconnaît Nathalie Léandri, vice-présidente (LR) du conseil départemental chargée des Affaires scolaires. C’est devenu une demande et nous devons y répondre. »

 

Le département a demandé aux prestataires de travailler sur des menus comprenant « au moins 20 % de composants bios et 5 % de produits en provenance du local », poursuit l’élue, qui indique que des sensibilisations seront également menées auprès des collégiens, mais aussi des actions anti-gaspi. Les OGM, eux, seront proscrits.

« Si cela se confirme, c’est une excellente nouvelle ! » s’exclame Alexandre Moreau, du collectif Une bonne restauration pour tous, qui « ne compte plus » les réunions qu’il a mises en place pour dénoncer les dysfonctionnements dans les cantines des collèges. « L’avantage d’une labellisation, c’est justement que le label contrôlera lui-même la bonne application du contrat par le prestataire, et non plus le département », explique Muriel Ducouret-Ferrandi, du collectif également.

Le futur prestataire devra aussi proposer sur un projet comprenant des repas à quatre ou cinq composantes, contre quatre aujourd’hui. Monter aux cinq choix est aussi une priorité du collectif, las de voir des collégiens « le ventre vide » après des repas sans saveur ou des choix trop limités notamment en fin de service. « Le contrat en cours est un échec », clame Alexandre Moreau.

« Des choses ont été dénoncées par les parents et ont été rectifiées »

Depuis 2014, c’est Elior qui prépare les 18 000 repas servis dans les 56 collèges faisant partie de la délégation de service public, avec des repas à des tarifs oscillant entre 0,60 € et 4,20 €, selon le quotient familial des collégiens. Des prix qui ne bougeront pas.

Et le département de reconnaître « avoir beaucoup appris des quatre années qui se sont écoulées. » « Des choses ont été dénoncées par les parents et ont été rectifiées », estime Nathalie Léandri. Sans en dévoiler le montant, l’élue indique que « des pénalités très importantes » ont été infligées au prestataire sur des questions relatives à « la quantité » ou encore à « la présentation » des repas.

Le nom du nouveau prestataire doit être annoncé le 29 mars par le conseil départemental.

 

 

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine|Anthony Lieures|06 mars 2018, 19h42|MAJ : 06 mars 2018, 19h51|

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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Hauts-de-Seine : neuf villes sanctionnées pour ne pas avoir assez construit de logements sociaux ...

10 Janvier 2018, 19:10pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Hauts-de-Seine : neuf villes sanctionnées pour ne pas avoir assez construit de logements sociaux   ...

Sur les 22 villes n’ayant pas atteint les 25 % de logements sociaux, neuf se voient aujourd’hui sanctionnées par l’Etat pour n’avoir pas respecté leurs objectifs de construction sur la période 2014-2016.

Elles sont neuf : Asnières, Bois-Colombes, Boulogne, Courbevoie, La Garenne-Colombes, Levallois, Neuilly, Saint-Cloud et Ville- d’Avray. Neuf villes des Hauts-de-Seine dont le pourcentage de logements sociaux est inférieur aux 25 % imposés par la loi SRU et qui n’ont pas respecté leurs obligations de production sur la période 2014-2016. Neuf communes qui vont donc être pénalisées via un certain nombre de mesures : reprise par le préfet du droit de préemption et de la gestion du contingent communal ou encore des pénalités financières.

Différentes selon chaque ville, elles sont multipliées par un coefficient compris entre 1 et 5 proportionnel aux lacunes dans la construction. Mais également pondérées par les surinvestissements réalisés au cours des années précédentes. Sans attendre de savoir quels seront les montants exacts, les neuf maires des villes concernés se sont réunis lundi soir à Saint-Cloud pour comparer leurs situations… envisager une riposte. Ils ont jusqu’à mi-février pour déposer un référé contre les arrêtés leur stipulant leurs sanctions.

« Sur les 36 villes du département, 22 sont en dessous des 25 % de logements sociaux et 9 se retrouvent carencées, ce qui est inédit », explique Eric Berdoati, maire (LR) de Saint-Cloud. Qui plaide pour sa paroisse : sa commune est passée de 10 % de logements sociaux en 2001 à 17 % en 2017, soit 1 000 logements construits sur cette période. Mais faute d’avoir été suffisamment efficace ces dernières années, sa pénalité « théorique », s’élève à 440 000 € avec un coefficient de 2,7. Soit 1 M€ par an pendant 3 ans. « Mais comme la ville avait réalisé 3 M€ d’investissements au-delà de ses objectifs les années précédentes, a priori nous n’aurons pas de pénalités », souligne l’édile.

 

 

« Cet arrêté a glacé tout le monde dans les Hauts-de-Seine »

Une situation similaire à Levallois. « Sur les plans triennaux précédents nous avons toujours largement dépassé les objectifs », s’agace le maire (LR) Patrick Balkany, mettant en avant les +348 % réalisés sur la période 2011-2013. Des surinvestissements qui ont permis d’engranger 11 M€ de « cagnotte ». La pénalité théorique de 1,6 M€ pendant les trois prochaines années ne devrait donc pas s’appliquer. « Mais au-delà de ces sommes, c’est le principe même de la sanction qui est inacceptable, car elle ne tient compte ni des efforts des maires, ni des particularités des villes », plaide l’édile.

Un avis partagé par Pierre-Christophe Baguet, maire (LR) de Boulogne, qui affiche 14,61 % de logements sociaux et dont la pénalité théorique s’élève à 6 M€ par an. « Cet arrêté a glacé tout le monde dans les Hauts-de-Seine. Il n’est pas juste », déplore-t-il. Avant d’argumenter : « A Boulogne, nous avons préféré construire des grands logements sociaux comme des 5 pièces. Mais le pourcentage est calculé sur le nombre et pas la surface… »

« Il serait plus juste et objectif de regarder l’évolution depuis la mise en place de la loi SRU, plaide Yves Révillon, maire (LR) de Bois-Colombes. Ce d’autant plus que la règle a changé en 2014 avec un taux relevé de 20 à 25 %. » A Asnières, le solde entre les pénalités et les investissements réalisés par le passé devrait atteindre 400 000 € à régler cette année. Mais la ville espère pouvoir sortir très vite de la carence en montrant sa bonne volonté. « L’objectif est de donner des gages de construction à la préfecture pour renégocier dès cet été », souligne la municipalité (LR).

 

 

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine|Anne-Sophie Damecour (avec E. D et V.T.)| 09 janvier 2018, 20h47 |

 

Lionel FAUBEAU
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Yvelines et Hauts-de-Seine plaident pour un Grand Paris francilien

17 Octobre 2017, 17:50pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Yvelines et Hauts-de-Seine plaident pour un Grand Paris francilien

Versailles accueille ce mardi 17 octobre une réunion publique sur l’organisation de la métropole régionale.

La fusion 78-92 serait-elle passée de mode ? Une réunion publique, prévue ce mardi 17 octobre à Versailles, devait débattre du sujet même si, en quelques semaines, la question a changé d’échelle. Les départements franciliens, dans leur ensemble, veulent maintenant se faire entendre face aux projets qu’ils prêtent au gouvernement sur le Grand Paris.

L’ordre du jour de ladite réunion a d’ailleurs changé en l’espace de quelques jours. Si les premiers cartons d’invitation évoquaient une « fusion au service d’une ambition territoriale », nous voici aujourd’hui devant un débat pour « une métropole régionale ambitieuse ». « L’actualité d’aujourd’hui, c’est bien la métropole », souffle Pierre Bédier, président LR des Yvelines, rejoint par son homologue des Hauts-de-Seine, Patrick Devedjian, pour qui il a fallu « élargir », alors que leurs assemblées respectives avaient entériné le 30 juin dernier le projet de fusion.

Quelle est la pierre d’achoppement ? « Nous avons des informations selon lesquelles le préfet de région est porteur d’un projet de métropole qui se limiterait à Paris et la Petite Couronne. Nous prétendons, au contraire, que le bon périmètre est celui de la région Ile-de-France actuelle, c’est-à-dire avec la Grande Couronne. Ce qui n’exclurait pas les territoires ruraux qui se ressentent aujourd’hui comme des zones de relégation », explique Pierre Bédier. « La métropole différencie les Yvelines des Hauts-de-Seine. Que signifierait une frontière passant entre Boulogne et Vélizy. Il s’agit du même bassin. Cela n’a aucun sens », tempête Patrick Devedjian.

 

 

Le duo Bédier - Devedjian s’élargit

Les onze députés LREM des Yvelines n’ont pas la même opinion. Ils rejettent

d’ailleurs la fusion 78-92. « Elle arrive trop tôt et n’est pas opportune. Il faut mener une réflexion plus large, en finir avec le millefeuille et l’empilement des niveaux de décisions », note Didier Baichère, député LREM de Versailles. « Notre solution a beaucoup plus de sens, s’oppose Pierre Bédier. On supprime la région qu’on fusionne avec la métropole. Le tout est ramené à deux grands niveaux : le bloc communal qui comprend la commune puis les intercommunautés, et un bloc métropolitain avec les départements et la métropole. Tout doit être encadré par la loi et avec seulement deux élections par blocs à la clé et une répartition des compétences ».

Si la réunion de Versailles a changé d’agenda, elle ne compte pas non plus les mêmes intervenants. Le duo Bédier Devedjian s’agrandit désormais aux présidents LR de conseils départementaux franciliens - Jean-Jacques Barbaux pour la Seine-et-Marne, Arnaud Bazin pour le Val-d’Oise et François Durovray pour l’Essonne.

Pourquoi ne pas avoir invité les présidents de gauche du Val-de-Marne et de la Seine-Saint-Denis si les départements veulent faire entendre un autre son de cloche ? « Ils sont comme nous très hostiles au découpage actuel de la métropole et nous l’avons dit ensemble, la semaine dernière », affirme Patrick Devedjian. « Ils sont d’accord avec nous mais ne pouvaient pas décemment faire tribune commune avec nous », précise Pierre Bédier.

 

 

 

Laurent Mauron  leparisien.fr

 

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine>Nanterre|Laurent Mauron|16 octobre 2017, 18h30

 

 

 

 

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine>Nanterre|Laurent Mauron|16 octobre 2017, 18h30|

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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