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LE COLOMBES QUE J'AIME

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Colombes Couvre-feu pour mineurs : bilan mitigé après une semaine et la municipalité décide de l’étendre à tous les habitants des quartiers du Petit-Colombes, des Fossés-Jean, de la Petit-Garenne, Mairie et centre-ville

4 Novembre 2016, 08:10am

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Colombes Couvre-feu pour mineurs : bilan mitigé après une semaine et la municipalité décide de l’étendre à tous les habitants des quartiers du Petit-Colombes, des Fossés-Jean, de la Petit-Garenne, Mairie et centre-ville

 

 

Bilan fameux ou bilan fumeux ? Alors que s’achèvent les congés de la Toussaint, l’heure est au premier inventaire pour le couvre-feu lancé au début des vacances par la mairie de Colombes. « Globalement il y a beaucoup moins de jeunes visibles le soir et nous recevons beaucoup moins d’appels d’habitants pour se plaindre des nuisances. » Pour Alain Faugeras, directeur de la sécurité et de la prévention de Colombes, le résultat est plutôt positif.

Nicole Gouéta, maire LR, avait annoncé le 18 octobre cet arrêté destiné à interdire la circulation des mineurs de moins de 16 ans non accompagnés à partir de 22 heures dans les quartiers du Petit-Colombes et des Fossés-Jean. Sous peine d’être interpellés et conduits au commissariat. Les parents encourent quant à eux un PV de 38 €. En vigueur depuis le 25 octobre, le dispositif prend effet durant les vacances scolaires et les vendredis, samedis et dimanches soirs.

 

 

Deux interventions depuis sa mise en place

Depuis sa mise en place, deux interventions ont eu lieu selon Alain Faugeras. « Le 25 octobre, deux mineurs de moins de 16 ans ont été interpellés par la police municipale alors qu’ils étaient en train de dégrader le toit d’une bibliothèque dans le quartier Fossés-Jean vers 23 heures. » Les jeunes délinquants, originaires d’Asnières, ont été conduits au commissariat et une plainte pour dégradation a été déposée auprès de leurs parents.

 

 

La deuxième intervention s’est déroulée le 31 octobre, le jour d’Halloween. « Une quarantaine de jeunes s’en sont pris aux motards de la police municipale en fin d’après-midi dans le parc Caillebotte, explique le directeur de la sécurité. Quand les renforts sont revenus, vers 22 heures, il n’y avait plus de jeunes sur le terrain donc pas d’interpellations. C’est certainement un effet dû au couvre-feu. »

« Rien n’a changé »

Dans les rues du Petit-Colombes les habitants sont moins convaincus. « Je rentre tous les soirs du travail par le tram vers 22 heures, explique Vanessa. Rien n’a changé, il n’y a pas plus de policiers qu’avant et toujours des jeunes qui traînent. » Samia a appris l’existence du couvre-feu par le bouche-à-oreille et la mère de famille ne saisit pas bien l’utilité de cette mesure : « Je ne vois pas plus de sécurité ici. En revanche c’est problématique pour les adolescents qui vont être empêchés de se rendre à leurs activités sportives et culturelles sans leurs parents ».

Quant à l’opposition, elle continue de fustiger la mesure. « Nous allons demander des comptes au prochain conseil municipal, lance Alexis Bachelay, député PS de la circonscription. Bien que je pense que le bilan sera famélique. » L’élu regrette « une mesure choc qui stigmatise les habitants de ces quartiers et ne règle pas les problèmes de sécurité ». En attendant, le couvre-feu est en vigueur les week-ends et reprendra, quotidiennement, dès les vacances d’hiver.

Le dispositif va s'étendre à partir de décembre

Après les mineurs, le couvre-feu va s’étendre à tous les habitants des quartiers du Petit-Colombes, des Fossés-Jean, du Petit-Garenne, Mairie et centre-ville. Un nouvel arrêté interdit, à compter du 1er décembre et ce jusqu’au 31 mars inclus, de 22 heures à 6 heures, « toutes occupations abusives et prolongées des rues et autres dépendances domaniales visées lorsqu’elles sont de nature à entraver la libre circulation des personnes ou de porter atteinte au bon ordre et à la tranquillité publique ». S’accompagne une interdiction de consommer de l’alcool sur les voies et espaces publics. L’arrêté précise cependant, que les terrasses de café et de restaurants « sont exclues du champ d’application de l’arrêté ».

  leparisien.fr

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine>Colombes|Elia Dahan|02 novembre 2016, 19h47|

Lionel FAUBEAU

Président de l'association lecolombesquejaime

www.lecolombesquejaime.fr

lecolombesquejaime@free.fr

 

Colombes Couvre-feu pour mineurs : bilan mitigé après une semaine et la municipalité décide de l’étendre à tous les habitants des quartiers du Petit-Colombes, des Fossés-Jean, de la Petit-Garenne, Mairie et centre-ville

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Colombes : un enfant de 8 ans tire sur sa mère, et la blesse grièvement

2 Novembre 2016, 19:10pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Colombes : un enfant de 8 ans tire sur sa mère, et la blesse grièvement

L'enfant se trouvait chez son grand-père, à Colombes (Hauts-de-Seine). Sa mère aussi. Et un pistolet 22 long rifle était posé sur un buffet. L’enfant l’a vu, l’a pris… et il a blessé sa mère ! La scène s’est déroulée vers 11 heures, lundi. En apercevant l’arme, qui appartient à son grand-père, le petit garçon l’a attrapée et sans doute a-t-il voulu montrer la trouvaille à sa mère.

La maman blessée à la mâchoire 

Celle-ci était dans une chambre, porte close. L’enfant l’a ouverte juste alors que sa mère se trouvait juste derrière. En manipulant le pistolet, pointé dans la direction de sa mère, le petit garçon de 8 ans a appuyé sur la détente. Le projectile a touché la femme à la mâchoire. Sérieusement blessée mais hors de danger, la victime a été hospitalisée à Percy, à Clamart. Son fils, très choqué, a aussi été conduit à l’hôpital Beaujon. Une enquête a été ouverte pour retracer ce qu’il s’est passé dans le détail et déterminer pour quelles raisons le grand-père avait laissé traîner son 22 long rifle.

 

  leparisien.fr

>Faits divers|V.M.|31 octobre 2016, 20h20 | MAJ : 01 novembre 2016, 0h06|

Lionel FAUBEAU

Président de l'association lecolombesquejaime

site internet : www.lecolombesquejaime.fr

mail : lecolombesquejaime@free.fr

Colombes : un enfant de 8 ans tire sur sa mère, et la blesse grièvement

Colombes : un enfant de 8 ans tire sur sa mère, et la blesse grièvement

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Sa thèse sur l’hôpital Louis-Mourier de Colombes a été récompensée

9 Août 2016, 17:53pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr

Sa thèse sur l’hôpital Louis-Mourier de Colombes a été récompensée
Sa thèse sur l’hôpital Louis-Mourier de Colombes a été récompensée

Sa thèse sur l’hôpital Louis-Mourier de Colombes a été récompensée

Adeline Daboval|08 août 2016, 13h16

Son travail a été salué par le corps médical des Hauts-de-Seine. La docteur Caroline Fourgeaud vient de remporter la première édition du prix de thèse « Jean-Claude Leclercq », remis par Christian Hugue, le président du conseil départemental de l’ordre des médecins. L’objet de son étude : le projet « ville-hôpital » expérimenté à l’hôpital Louis-Mourier de Colombes. La Parisienne de 30 ans nous explique de quoi il s’agit.
Pourquoi avoir choisi l’hôpital de Colombes pour votre thèse ?
J’ai fait un internat de médecine générale, puis une spécialisation en médecine vasculaire avant de devenir chef de clinique en médecine interne à l’hôpital Louis-Mourier. J’ai donc une double casquette médecine générale et hospitalière. En 2012, le docteur Emmanuel Mortier a mis en place le projet « ville-hôpital » et il m’a paru intéressant de parler de la collaboration entre la médecine hospitalière et la médecine générale grâce à la création d’un hôpital de jour (NDLR : on entre le matin et on ressort le soir) de médecine interne.
Comment fonctionne exactement le projet « ville-hôpital » ?
Adressé par son médecin de ville, le patient reste la journée et subit un ensemble d’examens programmés. Il profite d’un plateau technique bien développé à l’hôpital de Colombes (imagerie, labo…), il peut passer tous ses examens le même jour au même endroit et il bénéficie de l’expertise d’un spécialiste. Je n’ai pas fait d’étude de coût, mais je pense que si l’on prend en compte les trajets en ambulances, les dépenses annexes, même en ajoutant le repas et les coûts divers, cela revient moins cher.


Quels avantages médicaux cela présente ?
Du point de vue des médecins généralistes, une telle structure est utile pour les personnes multipathologiques, comme les personnes âgées. Si elles sont hospitalisées 4 ou 5 jours, le risque est qu’elles perdent le peu d’autonomie qui leur reste. Une hospitalisation de jour peut aussi permettre de poser un diagnostic pour un patient qui aurait à la fois mal au genou, au ventre et du diabète par exemple.
Cette structure a été lancée en 2012. Combien a-t-elle accueilli de patients ?
Je l’ai étudiée entre juillet 2014 et février 2015. Pendant cette période, 34 patients sont passés. C’est faible. Mais ils ont été adressés par une vingtaine de médecins différents. La structure n’était peut-être pas suffisamment connue. Elle a été évaluée et arrêtée en 2015. Mais elle est en train de renaître sous une autre forme : au sein de « la plate-forme ambulatoire » de l’hôpital. Selon moi, il est nécessaire de conserver le lien entre l’hôpital et la médecine de ville et probablement de développer ce genre de structures qui évitent une hospitalisation complète et satisfont aussi bien les médecins que les patients.
leparisien.fr

http://www.leparisien.fr/colombes-92700/sa-these-sur-l-hopital-louis-mourier-de-colombes-a-ete-recompensee-08-08-2016-6024309.php

Lionel FAUBEAU

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Colombes : le tribunal ordonne la mise au placard des affiches de la discorde

30 Mars 2016, 17:49pm

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Colombes : le tribunal ordonne la mise au placard des affiches de la discorde
Colombes : le tribunal ordonne la mise au placard des affiches de la discorde

Colombes : le tribunal ordonne la mise au placard des affiches de la discorde

Ariane Riou | 30 Mars 2016, 17h52 | MAJ : 30 Mars 2016, 17h52



La justice a parlé dans le conflit des affiches qui oppose depuis deux mois le député (PS) Alexis Bachelay à la maire (LR) de Colombes Nicole Gouéta.

Ce mercredi, le tribunal administratif de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise) a rendu sa décision, ordonnant à la mairie « la dépose des affiches […] dans un délai de 7 jours » sans astreinte et de verser 1 500 € à Alexis Bachelay, par ailleurs conseiller municipal d’opposition, pour ses frais de procès.


L’élu avait déposé un référé-liberté contre la municipalité pour une série de panneaux installés depuis le 2 février à différents endroits de la ville. « Le plan Valls 2014-2017 voté par A. Bachelay, député PS de Colombes, Gennevilliers, Villeneuve-la-Garenne, c’est 20 M€ de moins pour les Colombiens », indiquent les placards, illustrés par d’une gigantesque flèche descendante.
L’opposant n’aura en revanche pas de droit de réponse
« C’est une première victoire. Cela montre que la mairie de Colombes a mené une campagne qui n’est pas de l’information locale mais de la propagande politique, estime Alexis Bachelay. L’objectif était de me discréditer. » En plus du retrait des affiches, le conseiller municipal réclamait aussi un droit de réponse dans le prochain bulletin municipal, requête rejetée le tribunal.


« La décision montre bien qu’il n’y avait pas d’urgence à agir », rétorque la municipalité de Colombes. D’une part au vu du délai de 7 jours sans astreinte « pour retirer des affiches qui sont là depuis deux mois ». Mais aussi parce que ces affiches « sont en train d’être retirées au profit d’une autre campagne », affirme la mairie.


Le conflit ne semble pas pour autant terminé. Alexis Bachelay affirme d’ores et déjà qu’il « n’exclut pas de poursuivre Mme Goueta au pénal pour détournement de bien public ». La mairie a déjà fait valoir que cette campagne « fait partie des cinq campagnes annuelles gratuites offertes chaque année par Decaux » avec qui la ville est en contrat pour l’affichage.

http://www.leparisien.fr/informations/colombes-le-tribunal-ordonne-la-mise-au-placard-des-affiches-de-la-discorde-30-03-2016-5673355.php

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Maire et député de Colombes s’écharpent autour d’une affiche

29 Mars 2016, 18:13pm

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Maire et député de Colombes s’écharpent autour d’une affiche
Maire et député de Colombes s’écharpent autour d’une affiche

Maire et député de Colombes s’écharpent autour d’une affiche

Adeline Daboval | 25 Mars 2016, 20h36 | MAJ : 25 Mars 2016, 20h36

Information municipale ou propagande politique ? Atteinte à la liberté d’expression et au droit de réponse ou communication appuyée d’une équipe municipale fière de ses choix ?


Le tribunal administratif de Cergy-Pontoise (Val-d’Oise) a examiné ce vendredi après-midi le référé-liberté déposé par Alexis Bachelay, député PS et conseiller municipal d’opposition de Colombes.

L’ancien adjoint au maire attaque la ville (LR) pour une série de panneaux qui propulsent son nom en haut de l’affiche. « Le Plan Valls 2014-2017 voté par A. Bachelay, député PS de Colombes, Gennevilliers, Villeneuve-la-Garenne, c’est 20 M€ de moins pour les Colombiens », clame le slogan, immanquable depuis le 2 février avec sa gigantesque flèche descendante.
« J’ai réalisé que la ville entière était couverte par ces affiches ! »
Atteinte au pluralisme, à la liberté fondamentale d’expression, au droit de réponse… L’avocate d’Alexis Bachelay égraine ses arguments et jurisprudences avec hésitation et redondance, devant un président qui voudrait que l’audience avance. « Ces panneaux, qui ne sont plus à ce jour qu’au nombre de dix, sont-ils particulièrement visibles ? » interroge-t-il. « Ils sont au bord de tous les grands axes, et en particulier au bord du boulevard du Général De Gaulle, l’un des plus grands axes urbains d’Ile-de-France et visible de l’A86. Au bout de quelques jours, j’ai réalisé que la ville entière était recouverte de ces affiches, plaide alors lui-même le député. Les gens m’ont interpellé : étais-je vraiment celui qui faisait perdre de l’argent la ville ? J’ai écrit à JC Decaux, j’ai essayé de dialoguer avec la municipalité. Mais ça fait sept semaines, et rien. Il faut que cela cesse ! L’objectif, atteint est de me salir et me discréditer. » Son avocate reprend du poil de la bête : « C’est inédit. Une commune qui s’arroge le droit d’une communication par affichage, dans le cadre d’un marché public, avec une seule voix, sur un espace public habituellement dédié aux informations de la ville. » « Contrairement au bulletin municipal, aux journaux, ou au conseil municipal, aucune réponse n’est possible. C’est une arme de propagande massive ! » assène le député.


De l’autre côté, on fait valoir que « l’urgence du référé-liberté est incompatible avec l’inertie du député ». « S’il vous avait saisi dans les jours qui ont suivi la campagne d’affichage, d’accord, mais pourquoi maintenant ? » interroge la défense. Selon l’avocat, à plus d’un an d’une échéance électorale, la ville n’est pas non plus contrainte à la neutralité. « La neutralité pèse sur les agents territoriaux. Mais par nature, une équipe municipale qui a gagné les élections présente sa vision et ses options. On ne peut pas non plus dire que nous avons bafoué le droit de réponse. Quand bien même le tribunal considérerait que c’est une publication et que le maire est le directeur de cette publication, il ne nous a jamais été soumis aucun texte de droit de réponse ! » En raison du lundi de Pâques, l’ordonnance sera rendue mardi matin.

Lionel FAUBEAU

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