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LE COLOMBES QUE J'AIME

periscolaire

Quotient familial (QF) à Colombes : + 14% pour le QF1 - Madame le Maire précise que c'est une "mesure de justice sociale"

15 Septembre 2016, 17:30pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr blog citoyen de colombes

Quotient familial (QF) à Colombes : + 14% pour le QF1 - Madame le Maire précise que c'est une "mesure de justice sociale"
Quotient familial (QF) à Colombes : + 14% pour le QF1 - Madame le Maire précise que c'est une "mesure de justice sociale"

Quotient familial (QF) à Colombes : + 14% pour le QF1 - Madame le Maire précise que c'est une "mesure de justice sociale"

C'est lors du Conseil Municipal du 29 septembre 2015 que nous avons appris l'augmentation du quotient familial qui atteindra + 14 % pour le quotient 1 contre 4 % pour le quotient 7 et 8.

Cette augmentation, on le constate aujourd'hui, à pour objectif la suppression de la gratuité des TAP = temps d'activités périscolaires.

Cette pénalisation des familles colombiennes s'aggrave avec le paiement des TAP ou la municipalité ne distingue plus 8 QF (Quotients familiaux) mais 2 ! En clair, il n'est plus question de faire payer les familles au prorata des revenus mais en 2 catégories : de 1 à 4 c'est 3 € pour les TAP du vendredi après midi et 6 € pour les QF de 5 à 8.

Madame Le Maire explique qu'il s'agit d'une mesure de "justice sociale"

Lionel FAUBEAU

Président de l'association lecolombesquejaime
site internet : www.lecolombesquejaime.fr
mail : lecolombesquejaime@free.fr

Quotient familial (QF) à Colombes : + 14% pour le QF1 - Madame le Maire précise que c'est une "mesure de justice sociale"

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Colombes : le périscolaire payant fait toujours râler les parents

29 Août 2016, 13:09pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr

Colombes : le périscolaire payant fait toujours râler les parents
Colombes : le périscolaire payant fait toujours râler les parents

Colombes : le périscolaire payant fait toujours râler les parents

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine>Colombes|Benjamin Derveaux|28 août 2016, 16h00|

*

Près de cinq mois se sont écoulés, mais la pilule n’est toujours pas avalée. Depuis que la mairie a décidé de faire payer les temps d’activités périscolaires (Tap) en mars dernier, plusieurs associations de parents sont toujours déterminées à lutter contre ce dispositif. La Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) a d’ailleurs promis de faire entendre leur voix lors du forum des associations, les 2 et 3 septembre. En collaboration avec d’autres associations comme Amstramgram et Veil Activ, la FCPE a lancé une collecte de fonds sur la plate-forme de crowdfunding Leetchi, pour d’éventuelles démarches juridiques. A ce jour, plus de 1 200 euros ont été collectés.

Du côté du cabinet du maire, on s’agace un peu de cette opposition. « Les parents ne peuvent pas, d’un côté, accepter cette réforme (NDLR : des rythmes scolaires) qui coûte de l’argent aux mairies, et après s’étonner qu’on en arrive là. Aujourd’hui, nous n’avons pas le choix, tranche un collaborateur de la maire de Colombes (LR) Nicole Goueta. Nous avons essayé de tenir pendant deux ans, mais si nous voulons veut continuer à l’appliquer de la meilleure des façons, nous sommes obligés de demander une contribution. La gratuité n’était plus envisageable. » La mairie fait valoir le coût peu élevé -3 à 6 € par enfant par semaine- des activités périscolaires : « Si quelqu’un trouve une meilleure solution à 1 ou 2 € de l’heure, il faudra nous le signaler. »

p>La déclaration reste en travers de la gorge de Joël Riandey, secrétaire FCPE à l’école élémentaire Henri Martin. « C’est indécent de tenir ce genre de propos, fustige-t-il. Pour une famille avec deux enfants, et qui n’a pas forcément beaucoup de ressources, une quarantaine d’euros par mois, ce n’est pas rien ! »

C’est ce que déboursera Mélanie pour ses deux enfants. « Je paye déjà le centre de loisirs le mercredi après-midi, et avec cette somme, j’aurais pu faire quelque chose avec mes enfants sur mon temps libre, regrette-t-elle. Mais cela ne m’empêchera pas de les mettre au périscolaire, car j’ai envie qu’ils profitent de ce moment ». Joël Riandey craint pourtant une véritable désertion des Tap -qui sont regroupés le vendredi après-midi) par les enfants de foyers modestes : « Ils risquent de passer leur après-midi dans le quartier ».

Autre point de tension : la nature des activités. « Le coût n’est pas vraiment le souci, mais j’ai l’impression que les activités ne sont pas encore très élaborées. C’est encore un peu bricolé » déplore Pierrick. « Il y a encore trop de disparités entre les écoles, pointe Abdel Mesbahi, président local de la FCPE. Certaines sont beaucoup moins bien équipées que d’autres pour proposer certaines activités, et ça pénalise les enfants. »

leparisien.fr

Lionel FAUBEAU

Président de l'association
site internet : www.lecolombesquejaime.fr
mail : lecolombesquejaime@free.fr

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Les mairies toujours plus nombreuses à faire payer les activités périscolaires

20 Août 2016, 11:21am

Publié par www.apeicolombes.fr

Les mairies toujours plus nombreuses à faire payer les activités périscolaires
Les mairies toujours plus nombreuses à faire payer les activités périscolaires

Les mairies toujours plus nombreuses à faire payer les activités périscolaires

Par Anna Benjamin, publié le 18/08/2016 à 13:33 , mis à jour à 17:27

Deux ans après la mise en place des activités périscolaires dans les écoles, un tiers des mairies les ont rendus payantes, faute de moyens. Des parents se battent pour faire respecter le principe de "gratuité de l'instruction".

Gratuites à Paris, Marseille ou Bourges, payantes à Toulouse ou Grenoble. Il n'existe pas de règle concernant les tarifs des activités périscolaires qui occupent les enfants après l'école depuis la réforme des rythmes scolaires en 2014. Mais à deux semaines de la rentrée des classes, Myriam Menez, secrétaire générale de la Peep, Fédération des parents d'élèves de l'enseignement public, s'alarme. "Plus de 30% des communes françaises feront payer les activités périscolaires à la rentrée. C'est de plus en plus fréquent", explique-t-elle à L'Express.

Après deux années de gratuité, les parents de Colombes, dans les Hauts-de-Seine, sont de ceux-là. Les activités périscolaires des écoles de la ville, qui ont lieu tous les vendredis entre 13h30 et 16h30, seront payantes dès septembre: de 3 à 6 euros par enfant par semaine en fonction du quotient familial. "Cela fait entre 108 à 216 euros par an", selon les calculs de Lionel Faubeau, président de l'Association des parents d'élèves indépendant de Colombes (APEIC). Dans cette commune, dont certains quartiers sont défavorisés, le budget des familles pourrait être plus serré. Malgré une pétition en ligne, la municipalité n'a pas pliée. "Je me demande ce que les familles qui ne peuvent pas payer vont faire de leurs enfants le vendredi après-midi et les activités vont-elles avoir une vraie valeur ajoutée?" s'interroge Lionel Faubeau.

D'autres villes sont concernées, comme Marle, Lesmont ouRoubaix. Le danger: "L'augmentation des inégalités, car pour certaines familles, 50 euros par enfant, s'il y en a trois, ça peut vraiment devenir compliqué", souligne Myriam Menez. La secrétaire de la PEEP pointe aussi des inégalités territoriales et de contenu des activités: "Dans certaines écoles, les parents payent pour de la simple garderie alors que d'autres communes ont de très bons équipements."

"Nous n'avons pas eu le choix"

Bougival, commune de 8729 habitants dans les Yvelines, a également voté la fin de la gratuité du périscolaire. Il en coûtera aux parents 7,50 euros par enfant chaque mois, soit 75 euros l'année. "Nous n'avons pas eu le choix", explique à L'Express la directrice des services à la Personne à la mairie. Les raisons avancées? Avant tout budgétaires, avec les répercussions de la baisse des dotations de l'Etat aux collectivités locales qui pèsent sur les budgets municipaux. Sans centre de loisirs municipaux, la mairie de Bougival a dû embaucherdes vacataires pour assurer les activités. "Malgré le fonds d'amorçage versé par l'Etat pour financer la réforme - 5,5 millions d'euros en 2015-2016 -, les frais engagés par la collectivité sont devenus trop importants", ajoute la directrice de Bougival qui promet que "pour les familles qui ne pourront pas payer, la mairie va étudier les dossiers".

LIRE AUSSI >> Rythmes scolaires: combien coûte la réforme aux maires?

Françoise Moulin-Civil, rectrice de Lyon et présidente du comité de suivi des rythmes scolaires a, elle, estimé ce mercredi sur France Infoque cette situation provient avant tout de "choix locaux". Selon elle, "l'Etat a déjà versé 834 millions d'euros depuis 2013 pour accompagner la mise en place de ces activités".

Depuis quelques mois, les parents des écoles de Pont-Scorff, dans le Morbihan, militent pour le retour à la gratuité des activités devenues payantes en septembre 2015. "Il s'agit de respecter le principe d'égalité des chances et de gratuité de l'instruction pour tous", indique Nicolas Pirot, président du conseil local de la Fédération des conseils des parents d'élèves (FCPE). A force de mobilisations devant la mairierelayées par la presse, le dialogue s'est réinstallé avec les élus: "La mairie comprend que les parents ne peuvent accepter ce nouvel impôt déguisé sur leurs enfants donc nous avons bon espoir qu'ils reviennent sur leur décision."

"Un choix politique"

Pour les opposants à la réforme, ce sont les nouveaux rythmes scolaires qui sont à blâmer. Selon l'enquête menée en 2016 de l'Association des maires de France (AMF), les activités périscolaires coûtent 231 euros par enfant par an en moyenne aux municipalités. "C'est beaucoup plus cher que prévu donc alors qu'aucune ne prévoyait de le faire en 2014, elles seront un tiers à les rendre payantes à la rentrée 2016", selon Agnès Lebrun, maire de Morlaix et vice-présidente de l'AMF. Elle regrette un "transfert de charges injuste" pour les mairies pour qui "prendre en charge le paiement de ces activités est avant tout un choix politique".

"En Bretagne, les écoles privées connaissent un succès grandissant donc il faut absolument soutenir l'enseignement public", pense Nicolas Pirot. De telles hausses tarifaires ne sont heureusement pas généralisées sur le territoire. Dans le Morbihan, grâce à la mobilisation des parents, certaines écoles reviennent même à la gratuité. A la rentrée 2015, 17 à proposaient des activités payantes. En septembre, elles ne seront plus que 15.

APEIC

Association des Parents d'élèves Indépendants de Colombes

apeic.asso@gmail.com

www.apeicolombes.fr

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