Merci aux agents d'entretiens, de nettoyage, de ramassage des poubelles de Colombes
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le Blog Citoyen de Colombes
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LA ZONE BLEUE S’ÉTEND !!!
Chèr(e)s ami(e)s du Collectif,
A partir du 1er novembre, la municipalité a décidé d’étendre la zone bleue à de nouvelles rues, vous pouvez en consulter le plan sur le site de la mairie; le marquage au sol et la pose des panneaux règlementaires ont été effectués dans les nouvelles rues concernées.
Le Collectif a toujours été favorable à cette mesure qui a permis de libérer des places dans la périphérie des zones payantes, places souvent phagocytées par des voitures ou des utilitaires ventouses.
Les riverains ont pu de nouveau se garer un peu plus facilement, la zone bleue n’est pas la panacée mais les retours que nous en avons eu ont été globalement positifs.
La zone bleue en quelques informations :
N’importe qui peut se garer en zone bleue de 9h à 12h et de 14h à 18h, pour une durée maximale de 3 heures avec le disque règlementaire qui précise l’heure d’arrivée, au-delà vous êtes verbalisable (35 €).
Pour les riverains le stationnement reste gratuit pour un stationnement de 7 jours maximum, mais les véhicules (2 par famille) doivent avoir un macaron zone bleue au prix symbolique d’1 € et valable 2 ans, que vous pouvez obtenir :
A la Police Municipale 7 rue de la Liberté du lundi au vendredi de 9h à 12h et de 14h à 17h30 et le samedi de 9h à 13h,
A l’Hôtel de Ville du lundi au vendredi de 8h30 à 17h30 et le samedi de 9h à 12h.
Les pièces à fournir sont les suivantes :
une pièce d’identité (carte d’identité, passeport, permis de conduire)
votre certificat d’immatriculation / carte grise
un justificatif de domicile de moins de trois mois.
Il est également possible de remplir un formulaire sur le site de la marie.
Il est également possible d’obtenir un macaron pour les véhicules de fonction, à condition de pouvoir présenter un courrier de l’employeur stipulant le nom et l’adresse du conducteur. Le macaron doit être apposé sur le pare-brise, en évidence.
TRÈS IMPORTANT :
Pour les résidents des zones payantes au seul profit de Q-Park qui ont un abonnement, les zones bleues sont gratuites sans que le macaron soit apposé sur le pare-brise.
Entre le badge Q-Park, la vignette Critair, l’attestation d’assurance, la vignette du contrôle technique, cela commencerait à faire beaucoup…….
Cependant, nous vous conseillons de ne pas acheter le badge électroniquement aux horodateurs, mais d’aller le chercher physiquement au bureau de chez Q-Park dans le parking du centre-ville. Pourquoi ?
Parce que malgré les hypers profits que vous connaissez tous, Q-Park « n’a pas les moyens » de mettre un badge sous enveloppe et de vous l’envoyez après l’achat électronique sur l’horodateur……
Moralité, comme les logiciels de verbalisation des zones bleues et des zones payantes ne sont pas compatibles sur un même terminal, les ASVP vous verbaliseront systématiquement puisque vous n’aurez pas le badge résident ni le macaron zone bleue apposé sur votre pare-brise ! Si cela devait arriver, nous vous conseillons de bien faire valoir vos droits !!!
Encore une fois la DSP avec Q-Park complique tout, conduit à des ennuis pour certains colombiens, et l’on mesure à nouveau la désinvolture du délégataire qui s’avère incapable de confirmer un achat électronique d’un abonnement résident par l’envoi d’un courrier du badge correspondant.
ANNULATION !
Le Collectif Indépendant de Colombes
Témoignez sur parkinggratuit92@gmail.com et nous diffuserons vos informations. Retrouvez toutes nos publications sur www.lecolombesquejaime.fr
http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/police-du-quotidien-avis-partages-entre-asnieres-colombes-et-gennevilliers-09-02-2018-7550892.php
Le maire d’Asnières est emballé, ceux de Gennevilliers et Colombes sont plus réservés après que Gérard Collomb a annoncé la création de cette police nouvelle formule dans un quartier de chaque commune.
L’annonce d’une police de sécurité du quotidien (PSQ) dédiée à trois quartiers d’Asnières, Colombes et Gennevilliers, reçoit un accueil mitigé dans les communes concernées. A Asnières, Manuel Aeschlimann (LR) est enchanté. D’autant, insiste son entourage, que c’est lui qui avait proposé au ministre de l’Intérieur que sa ville soit « parmi les premières à expérimenter ce dispositif ». Le député LREM de la circonscription revendique la même démarche. Du coup, à Asnières, tout le monde est plutôt content.
Les Mourinoux, et plus largement les Hauts d’Asnières, sont le quartier retenu pour être doté de cette nouvelle police présentée mercredi par le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb. Malgré les gros investissements dans le cadre du plan Anru, et le classement du quartier en zone de sécurité prioritaire (ZSP), « il y a toujours quelques poches de délinquance avec une poignée de gens qui pourrissent le quotidien des habitants », relève l’entourage du maire d’Asnières.
La PSQ, qui se traduira concrètement par l’affectation de quinze à trente policiers, couvrira aussi le grand quartier du Luth, à Gennevilliers. Ce qui convient au maire (PCF), Patrice Leclerc, à condition qu’il s’agisse d’une police proche des habitants, et que la nouvelle organisation ne retire pas les moyens d’autres brigades. « S’il s’agit de donner plus de moyens pour une police de proximité comme on l’a connue, ce serait bien », commente le maire, un brin circonspect.
La maire (LR) de Colombes, Nicole Goueta, regrette surtout que le quartier du Petit-Colombes, « qui concentre une délinquance armée liée au trafic de drogue », n’ait pas été identifié comme une priorité. Car c’est aux Fossés-Jean que la PSQ œuvrera.
Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime
Le Blog Citoyen de Colombes
@ilovecolombes
Un bout de mannequin cassé, quelques chaises, des tuteurs et un cabanon fermé. Les Jardins sauvages d’Audra, situés dans l’avenue du même nom à Colombes, font triste mine. Et ils ne revivront pas au printemps avec le retour du soleil et des semis. « Il y a trois mois, la Poste nous a demandé de quitter les lieux au 31 décembre, regrette un des membres historiques de l’association. Mais on savait que ça allait arriver tôt ou tard. »
Depuis 2009, environ 80 personnes faisaient pousser, sans même un bail précaire ou une convention, quelques fleurs et légumes et se retrouvaient en fin de semaine sur ce terrain de 6 000 m2 qui appartient à la Poste. « C’était bien plus que trois carottes et deux salades quand on se rencontrait le samedi après-midi autour d’un cake », poursuit le jardinier.
Mais sur cette parcelle, coincée entre une tour de quinze étages et les grillages qui protègent les terrains de sport du stade Yves-du-Manoir, un projet immobilier est prévu dans le cadre de la ZAC Arc Sportif. Il comprend plusieurs bâtiments de 3 à 8 étages, soit environ 80 logements, et une crèche.
« C’est 5 300 m2 d’immobilier privé, un ensemble extrêmement dense, collé aux copropriétés et à une vingtaine de mètres de la tour, s’insurge le conseiller municipal socialiste d’opposition Alexis Bachelay. Après l’Agrocité, on supprime à nouveau des jardins partagés. On est dans une hyperdensification du quartier, puisqu’entre les boulevards de Valmy et Gambetta, on a vu pousser 6 projets en moins de 5 ans. »
Lors du dernier conseil municipal, toutes les composantes de l’opposition ont dénoncé « la densification à outrance », le sacrifice de ce poumon vert de la ville pour « des logements à des prix inaccessibles pour les Colombiens » avant que les échanges ne deviennent presque inaudibles. C’est Nicole Gouéta, le maire (LR), qui a mis fin aux hostilités. « Le poumon vert de l’avenue Audra, c’est le stade Yves-du-Manoir et pas ce petit carré de verdure où il y avait trois salades qui poussaient ! Je rappelle que l’Arc sportif, c’est plus de 15 000 m2 de jardins mais les jardins partagés se feront en toiture pour les habitants des immeubles. »
||11 janvier 2018, 20h09
Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime
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Colombes, samedi. Plusieurs habitants se sont spontanément réunis, autour de Philippe Leblanc, président du conseil de quartier, pour achever l’installation de la jardinière rue Wiener.
Après le marché bio, les incroyables comestibles. Le quartier des Vallées à Colombes poursuit sa métamorphose. A la demande du conseil de quartier, des bacs ont été installés ce samedi sur trois sites communaux non exploités : rue Wiener, rue du commerce et à la Coulée Verte. « C’est un quartier discret, pour ne pas dire mort, souffle Philippe Leblanc, président du conseil de quartier qui y vit depuis 1950. Nous voulons le redynamiser, faire ressortir les habitants. Que les gens se rencontrent, échangent… ».
Cette expérience, née en Angleterre, consiste à mettre à disposition gratuitement des petits potagers pour faire pousser des fruits et légumes en milieu urbain. La fabrication et l’entretien des bacs, accessibles à tous, dépendent directement des participants. « Nous voulons que les habitants se réapproprient la culture urbaine et qu’ils s’impliquent dans la ville », assure Nadia Frontigny, adjointe à la démocratie locale.
Et ça marche ! Samedi, un petit groupe s’est spontanément réuni pour achever l’installation de la jardinière de la rue Wiener. « L’idée du tout participatif est très séduisante, lâche Nathalie, marteau à la main. Cela permet de créer du lien social avec les gens du coin, d’aller bien au-delà des simples rapports cordiaux de voisinage. » « On sent un véritable enthousiasme autour de ce projet, confirme Céline, une autre mère de famille du quartier. Chacun manifeste une réelle envie d’apporter sa pierre à l’édifice. »
Des légumes ont déjà été plantés dans les bacs de la rue du Commerce. Charge maintenant aux habitants de conserver leurs espaces sur le long terme. « Nous ne sommes pas à l’abri d’un abandon, avoue Philippe Leblanc. Nous avons établi un planning pour s’assurer du bon fonctionnement. Sur chaque site, nous avons essayé de doubler les postes pour réduire le risque. »
Cette expérience arrive quelques semaines après le déménagement forcé de l’Agrocité, qui a les mêmes principes de culture urbaine et de potager participatif, vers Gennevilliers. Paradoxal ? « L’Agrocité bloquait le réaménagement des Fossés-Jean, justifie Nadia Frontigny. Et à l’inverse des incroyables comestibles, ce n’était pas un projet directement porter par les habitants ».
||01 mai 2017, 11h10
Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime
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Colombes : les incroyables comestibles débarquent
Après le marché bio, les incroyables comestibles. Le quartier des Vallées à Colombes poursuit sa métamorphose. A la demande du conseil de quartier, des bacs ont été installés ce samedi sur ...