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LE COLOMBES QUE J'AIME

videosurveillance

Colombes : interpellé l’arme à la main

9 Mai 2018, 17:46pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Colombes : interpellé l’arme à la main

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine|22 avril 2018, 17h19|MAJ : 22 avril 2018, 17h21

 

 

Le malfaiteur a été piégé par les caméras de vidéosurveillance.
« C’est la vidéo qui a rendu possible l’interpellation ! » En mairie de Colombes, on se félicite de l’intervention menée samedi soir avenue de l’Europe. Peu après 22 heures, une caméra immortalise une scène qui laisse peu de place au doute. Un homme se penche sur l’habitacle d’une Renault Clio et extirpe une arme à feu de la boîte à gants. L’arme à la main, il rejoint une Audi A1 garée un peu plus loin. Du centre de supervision urbaine (CSU), l’agent municipal qui scrute ses écrans, prévient aussitôt ses collègues sur le terrain. La police municipale intervient dans la foulée et appréhende l’homme quelques dizaines de mètres plus loin et « quatre minutes plus tard », rue des Renouillers, avec un Glock 9 mm. La police nationale a pris le relais et l’homme était toujours en garde à vue à Colombes ce dimanche. Il devrait être présenté à un magistrat lundi et devra s’expliquer sur cette « détention d’arme ».
 

 

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@gmail.com

@ilovecolombes

Colombes : interpellé l’arme à la main

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Colombes. Le nombre de caméra de vidéo protection va passer de 72 à 82 d’ici la fin de l’année

17 Mai 2017, 17:13pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Colombes. Le nombre de caméra de vidéo protection va passer de 72 à 82 d’ici la fin de l’année

La sécurité, c’est le maître mot de la maire (LR) Nicole Goueta depuis son arrivée aux responsabilités à Colombe : réarmement des policiers municipaux, recrutement d’effectif de police, mise en place de motards, création d’un poste annexe mobile et… extension du réseau de vidéo protection. D’ici la fin de l’année, le nombre de caméras passera de 72 à 82. Il n’y en avait que 65 en 2014.

« Cela fait partie des efforts consentis par la mairie en tenant des demandes de la population », assure Alain Faugeras, le directeur de la sécurité. L’objectif est de « resserrer les mailles du filet » pour suivre un individu de la commission des faits, jusqu’à « la fin de sa fuite ».

L’installation sera terminée d’ici la fin de l’année. Les lieux de leur implantation sont décidés conjointement en « réunion de sécurité » par le commissaire de police et la mairie. « Elles seront réparties de manière cohérente et équitable dans toute la ville », affirme Alain Faugeras. Le coût s’élève entre 10 000 et 25 000 pour chaque caméra. Ce choix politique fait grincer des dents dans l’opposition. Et notamment l’ancien maire (PS) Philippe Sarre. Durant son mandat, il a « complété » le réseau créé par Nicole Goueta entre 2001 et 2008, en en installant ainsi quatre de plus (de 61 à 65). « Je ne nie pas que cela puisse être utile, c’est une évolution logique, consent-il. Mais il faut que cela soit fait de manière pragmatique en ciblant les besoins. Pas en faire un objet de communication ou un thème de campagne en voulant rassurer les habitants. »

« Cela permet d’être alerté plus rapidement, de sécuriser les équipages et les adapter en fonction de la situation. C’est aussi une aide indispensable à la Police Judiciaire, rétorque le directeur de la sécurité. Et même si c’était seulement pour répondre à un sentiment d’insécurité : c’est notre rôle, et c’est gagné ». Et ils ne comptent pas s’arrêter là. De nouvelles caméras pourraient faire leur apparition dans les prochaines années. « Je crois que ce sera nécessaire, assure Alain Faugeras. Les habitants sont très demandeurs, notamment dans les nouveaux quartiers. »

La vidéoverbalisation gagne du terrain

Nicole Goueta a aussi pris un nouvel arrêté municipal pour étendre le dispositif de vidéoverbalisation, installé en 2015. « Nous l’avons testé à plusieurs grands axes, et cela fonctionne plutôt bien », se réjouit-on à la mairie. Les avenues Henri-Barbusse et Audra, et le boulevard de Valmy s’intègrent à la couverture. Jusqu’alors, onze axes faisaient partis du système, dont le boulevard Charles-de-Gaulle, la rue Gabriel-Péri ou l’avenue de Stalingrad.

Avec cette nouvelle extension qui s’appuie sur le parc de caméras existant, la Ville veut poursuivre sa lutte contre ces actes qui « empoisonnent la vie des riverains et des conducteurs » comme les voitures en double file, les véhicules arrêtés dans les voies de bus etc.

Au premier trimestre, 3 778 véhicules ont ainsi été verbalisés et près de 709 amendes ont été dressées par caméras interposées. Sans que les motivations ne soient économiques, puisque seules « quelques infractions » entrent dans les caisses de la ville. « Nous voulons faire de la prévention et fluidifier le trafic, explique-t-on à la mairie. Nous ne sommes pas là pour embêter les gens, mais pour améliorer leur quotidien ».

Victor Tassel leparisien.fr

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@gmail.com

@ilovecolombes

Colombes. Le nombre de caméra de vidéo protection va passer de 72 à 82 d’ici la fin de l’année

Colombes. Le nombre de caméra de vidéo protection va passer de 72 à 82 d’ici la fin de l’année

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Colombes : la police sous surveillance !

1 Février 2016, 19:10pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr

Colombes va géolocaliser ses policiers en temps réel
Colombes va géolocaliser ses policiers en temps réel

Colombes va géolocaliser ses policiers en temps réel



«Le Superviseur». Voici le nom, semblant sorti d’un film de science-fiction, du nouvel outil qui sera bientôt mis à la disposition de la police municipale de Colombes. Il s’agit d’un système de géolocalisation fine des policiers.


«Même en dehors des interventions, nous serons capables de savoir où sont les agents en temps réel. Jusqu’à présent, il nous fallait les appeler par radio et leur demander Où tu es ?, explique l’adjoint à la sécurité Jean-Paul Bolufer. C’était fastidieux. Désormais, nous pourrons mieux ventiler nos forces sur le terrain et agir plus rapidement. Des points lumineux apparaîtront sur une carte au centre de supervision urbaine (NDLR : là où sont déjà visionnées les images de vidéosurveillance).»


Concrètement, ce sont les radios des policiers en service qui permettront leur géolocalisation. « A l’avenir, nous aurons en permanence les localisations devant les yeux au centre de supervision urbaine (CSU) » se réjouit Alain Faugeras, directeur de la prévention et de la sécurité. L’ancien colonel de gendarmerie a déjà éprouvé l’intérêt d’un tel système par le passé et il balaie d’un revers de main toute notion de «flicage» des agents. «La géolocalisation est utilisée depuis une bonne dizaine d’années par la gendarmerie, reprend-t-il. Comme la vidéo-protection, qui a suscité des débats lors de son lancement et qu’aujourd’hui plus personne ne conteste, la géolocalisation fait partie des combats retardataires.»
74 caméras scruteront la ville d’ici la fin de l’année
A propos de caméras, Colombes modernise aussi son système de vidéosurveillance. «Nous en installerons sept nouvelles, plus performantes, en 2016», annonce l’adjoint à la sécurité. En tout, à la fin de l’année, 74 caméras, dont plusieurs sont mobiles, scruteront les rues. Les travaux devraient commencer à la mi-février. Coût total de l’opération : 371 000 €, dont les deux tiers seront pris en charge par des subventions de l’Etat et du conseil départemental.


Si le précédent maire socialiste, Philippe Sarre, n’a jamais caché être favorable à la vidéosurveillance, il n’en est pas de même des élus communistes. «Il s’agit d’un matériel coûteux et nous craignons à terme une réduction de nos libertés individuelles, critique Brigitte Gonthier-Maurin, conseillère municipale d’opposition et sénatrice PCF. De plus, les caméras ne peuvent pas se substituer à la présence de forces humaines.»

http://www.leparisien.fr/colombes-92700/colombes-va-geolocaliser-ses-policiers-en-temps-reel-21-01-2016-5473375.php

Lionel FAUBEAU

Président de l'association
site internet : www.lecolombesquejaime.fr
mail : lecolombesquejaime@free.fr
adhésion en ligne : https://leetchi.com/c/lecolombesquejaime

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COLOMBES : VIDEOPROTECTION - L'ALIBI INFONDE DE MME GOUETA

30 Septembre 2013, 18:40pm

Publié par FAUBEAU lionel

COLOMBES : VIDEOPROTECTION - L'ALIBI INFONDE DE MME GOUETA
COLOMBES : VIDEOPROTECTION - L'ALIBI INFONDE DE MME GOUETA

Après son succès aux primaires UMP et fort de ses 1 000 votants Nicole GOUETA ne cesse de brandir la vidéoprotection contre le Maire socialiste Philippe SARRE.

Pourtant, demander une vidéosurveillance plus dense sur la ville ne résoudra en rien, du jour au lendemain, la délinquance sur Colombes comme le précise un rapport de l'Institut d'Aménagement et d'Urbanisme (IAU) d'IDF et du SENAT en 2012.

"Le recours à la vidéosurveillance par les maires, et plus largement par l’ensemble des opérateurs qui s’en dotent, reposent sur 4 présupposés dont les évaluations montrent pourtant qu’ils ne sont guère fondés : :

1 - la vidéosurveillance jouerait un rôle dissuasif permettant de diminuer la délinquance. Les délinquants potentiels reconsidèreraient leurs actes devant cette surveillance technique d’un espace et préfèreraient soit ne pas commettre de délit, soit le commettre ailleurs (sur ce point voir l’étude de Brown auprès d’une trentaine de délinquants). Dans cette perspective, la vidéosurveillance est considérée comme un « gardien compétent ».

2 - la vidéosurveillance aiderait à l’élucidation des délits et des désordres en constituant une preuve à charge en cas d’enquête judiciaire ou/et en aidant à l’arrestation de l’auteur de l’acte.

3 - la vidéosurveillance permettrait un déploiement approprié des forces de police. Elles pourraient ainsi se déplacer que lorsque cela est nécessaire et adapter leurs effectifs envoyés sur place.

4 - la vidéosurveillance aurait un impact positif auprès de la population, elle permettrait de diminuer le sentiment d’insécurité.

Des présupposés dont les évaluations montrent pourtant qu’ils ne sont guère fondés :

- bon nombre de comportements délinquants sont imprévisibles et liés à une nature impulsive, la vidéosurveillance ne dissuade pas par exemple de jeunes gens ivres de se battre à la sortie d’un bar.

- beaucoup de comportements sont indétectables par un opérateur qui doit surveiller un mur d’écran, car les « professionnels », comme les pickpockets intègrent les systèmes d’alarme ou de vidéosurveillance dans leurs procédés.

- si la vidéosurveillance peut servir à plusieurs types d’activités (terrorisme, gestion urbaine, trafic routier, aide au déploiement des forces de police) il est impossible de considérer que tous ces objectifs puissent être atteints au même moment et avec les mêmes opérateurs. Le risque est de considérer la vidéosurveillance comme une « machine à tout faire» et de ne pas lui donner d’objectif précis, de disperser les efforts et par conséquent de ne pas être efficace. Sebastian Roché estime ainsi que l’accoutumance à « la vidéosurveillance est telle qu’un phénomène de manque serait probablement ressenti si son usage était suspendu19.»

- le fait de devoir trier un grand nombre d’informations visuelles amène les opérateurs à se focaliser sur « une gamme étroite de caractéristiques facilement repérables plutôt que sur les comportements suspects.20 », également appelé phénomène de « tri social ».

Les coûts

Le coût d’investissement total (comprenant les caméras, les réseaux, le stockage numérique, le poste de contrôle) est d’environ 20 000 euros par caméra (soit pour 15 caméras, un coût d’environ 300 000 euros). Par exemple, le coût pour Levallois est de 3 M€.

Pour le fonctionnement

Maintenance technique et gestion des images. Pour un système composé d’une vingtaine de caméras, fonctionnant 24h sur 24, cinq agents au moins sont nécessaires, il faut compter 26 000 à 28 000 euros par agent, soit un total de 140 000 euros par an d’exploitation au minimum. (...)

Si la perception de la population à l’égard des caméras reste massivement positive dans les quatre espaces
mentionnés, dans trois sites sur quatre, les habitants sont moins nombreux à se dire « très ou plutôt contents de la
vidéosurveillance » après l’installation des caméras. Cela tendrait, estiment les auteurs, à prouver que « l’idée (de la
vidéosurveillance) est plus séduisante en théorie qu’elle ne l’est dans la pratique »

le rapport du SENAT précise:

force est de constater que l'extension de la vidéosurveillance contribue à la « judiciarisation » des polices municipales. En effet, l'installation d'un système de vidéosurveillance comporte deux objectifs principaux : d'une part la prévention des infractions, d'autre part l'élucidation de celles qui sont commises dans le champ des caméras. Si le premier aspect renvoie à la dimension préventive de la police municipale, le second suppose en principe la réalisation d'une enquête policière et judiciaire menée après que les faits ont été constatés, et donc l'intervention des forces nationales. Mais le simple fait que des actes de délinquance se déroulent sous le regard des caméras de la police municipale implique davantage celle-ci dans le traitement judiciaire de la délinquance.

la vidéosurveillance n'est qu'un moyen parmi d'autres pour assurer la tranquillité publique, dans une logique de complémentarité plus que de substitution. Toutefois, sans qu'il soit possible d'établir une corrélation rigoureuse entre ces deux évolutions, il semble aussi que le développement de cette technologie puisse être l'occasion de diminuer les effectifs présents sur la voie publique.

s'il arrive souvent aux policiers municipaux d'être à l'origine d'enquêtes lorsqu'ils constatent des infractions à la loi pénale, ils doivent toujours « passer le témoin » aux forces de sécurité nationale lorsque la répression de ces infractions suppose des actes d'investigation.

Dans la même logique, les pouvoirs d'interpellation dont disposent les policiers municipaux se limitent à ceux que possèdent tous les citoyens en vertu de l'article 73 du code de procédure pénale. Ils doivent immédiatement avertir un OPJ de toute interpellation et perdent toute compétence dès lors que la personne interpellée a été remise aux forces de sécurité de l'Etat.

http://www.prevention-delinquance.interieur.gouv.fr/fileadmin/user_upload/02-Orientations_et_gouvernance/Pdf/PoliceMunicipale_Senat-sept2012.pdf

http://www.iau-idf.fr/fileadmin/Etudes/etude_534/Synthese_video_esp_public.pdf

Lionel FAUBEAU

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COLOMBES : 70 POLICIERS EN RENFORT

4 Septembre 2013, 18:00pm

Publié par FAUBEAU Lionel

COLOMBES : 70 POLICIERS EN RENFORT

COLOMBES : 70 POLICIERS EN RENFORT

Après huit mois d’accalmie, deux fusillades entre bandes rivales ont éclaté en moins de 24 heures dans un quartier sensible de Colombes (Hauts-de-Seine) sur fond de trafic de drogue.

Selon "Le Monde" soixante-dix policiers ont été déployés en renfort dans la nuit de mardi à mercredi."Ces effectifs supplémentaires nous ont permis d'interpeller un jeune homme lié au trafic de stupéfiants qui pourrait avoir eu un rôle à jouer dans les derniers événements", a affirmé une source policière, mercredi.

Le quartier de Petit-Colombes, connu pour abriter d’importants trafics de stupéfiants -essentiellement du cannabis et de la cocaïne-, avait déjà été secoué en 2011 et 2012 par une série de règlements de comptes. Plusieurs jeunes hommes avaient notamment reçu des balles dans les jambes en guise d’avertissement.

Lionel FAUBEAU

http://lecolombesquejaime.over-blog.com

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