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LE COLOMBES QUE J'AIME

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Colombes : suppression de l'aide aux devoirs par la Mairie LR

13 Juin 2020, 09:42am

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Colombes : suppression de l'aide aux devoirs par la Mairie LR 

SOUVENEZ VOUS JUIN 2018 : DÉCISION DE NICOLE GOUETA et PERROTEL SON ADJOINT

appel des familles et des enseignants attachés au dispositif d’aide aux devoirs dont la mairie a annoncé la suppression à la rentrée.
La Mairie justifiait ce choix par la perte d’une subvention versée par la CAF.

La CAF a démenti formellement dans le journal Le Parisien, en précisant que c’est la ville qui malgré plusieurs relances n’a pas déposé la demande de subvention.

Parents, élèves et enseignants protestent contre la décision de la mairie (LR) de stopper à la rentrée le dispositif d’accompagnement à la scolarité du Bureau Information Jeunesse.

« Après 21 années d’existence, il est important de sauver ce dispositif qui a aidé des milliers de jeunes. » C’est le leitmotiv des enseignants du Bureau Information Jeunesse (BIJ) qui ont décidé de se rassembler, avec leurs élèves et leurs parents ce mardi soir devant l’hôtel de Colombes, juste avant le conseil municipal.

Une heure trente de cours de soutien était proposée dans différentes matières aux élèves de la sixième à la terminale les lundi, mardi, jeudi et vendredi soir. Prix : entre 20 € à 96 € le trimestre, selon le coefficient familial. Mais la mairie (LR) a récemment annoncé qu’elle mettait fin au dispositif à la prochaine rentrée parce que les cours étaient redondants avec ceux fournis par les trois centres sociaux et culturels répartis dans la ville, avec le dispositif « devoirs faits » dans les collèges, à partir de septembre 2018, et un soutien scolaire gratuit en ligne mis en place par le conseil départemental.

Selon la CAF, la ville n’a pas demandé de subventions

Elle avançait aussi une raison financière. « Nous avons perdu 40 000 € de subventions de la Caisse d’allocations familiales sur un coût total pour la ville de 130 000 € ». Un argument réfuté en bloc par le directeur adjoint de la CAF des Hauts-de-Seine lui-même : « Depuis mars, mes collaborateurs ont sollicité Colombes, comme les autres villes, pour obtenir les justificatifs qui permettent d’attribuer les subventions, tient à préciser Fred Latour. Mais malgré nos relances, la ville n’a jamais rempli son dossier. Si le dossier avait été renouvelé, les subventions auraient été attribuées comme chaque année. »

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine|A.D.| 25 juin 2018, 20h25 |

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@gmail.com

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Colombes : suppression de l'aide aux devoirs par la Mairie LR
Colombes : suppression de l'aide aux devoirs par la Mairie LR
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Colombes : le bilan politique inavoué de Madame le Maire

7 Décembre 2019, 12:40pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Colombes : le bilan politique inavoué de Madame le Maire

 

Quartier : Europe / Plateau

- Diminution des commerces de proximité

- Constructions immobilières sans concertation avec les riverains

 

Quartier : Centre / Agent Sarre

- Pas de rénovation du marché du centre 

- Vente aux promoteurs sur le quartier de la Gare

 

Quartier : Fossés Jean / Stade

- Fermeture de la ferme agrocité

- Constructions de bâtiments + parking au détriment d'espaces verts

- Déménagement du Leclerc dans un espace plus réduit sous la pression des habitants

 

Quartier : Petit Colombes / Grèves

- Pas de création d'une antenne de police de proximité sur Aragon

- Pas de rénovation sur le quartier des canibouts 

- Fermeture du Centre municipal de santé au profit d'un établissement privé

 

Quartier : Petite Garenne / les Vallées

- Fermeture de la Mairie de proximité Wiener

- Densification des constructions d'immeubles sans concertation avec les riverains 

 

Et concernant la dégradation du service aux Colombiens :

- Diminution des effectifs des agents municipaux de 10% ,

- Augmentation des plaintes des agents municipaux sur les méthodes de management

- Fermeture des Mairies de proximités

- Diminution des subventions aux associations d'utilité citoyenne = la MJC, le LSOC, l'Avant Scène,

- Aucune offre sur la création d'équipements sportifs dans certaines zones de Colombes malgré la forte demande voire même une nette détérioration de certains Gymnase (LAKANAL),

- Augmentation des coûts pour les Colombiens avec la modification des Quotients familiaux 

 

Sur la sécurité :

- Augmentation croissante des atteintes aux personnes et les quartiers "favorisés" ne sont pas épargnés

- Augmentation croissante des attaques avec armes à feux

- Absence de prévention

- Augmentation de la vidéoverbalisation, ...Matraquage des Colombiens avec les PV de stationnement et le passage du Forfait Post Stationnement (FPS) de 11 à 30 € !  

 

Objectifs inavoués de la Municipalité :

- Densification des constructions immobilières pour atteindre 100 000 habitants mais aucune concertation sur la construction d'écoles , d'équipements sportifs, de fluidité des transports, création de pistes cyclables, fluidité de la circulation ...,

- Grignotage des zones pavillonnaires, pourtant que Madame Le Maire voulait , dans son temps , protéger des promoteurs immobiliers . 

 

 

source : parti socialiste de Colombes

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

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Colombes : le bilan politique inavoué de Madame le Maire

Colombes : le bilan politique inavoué de Madame le Maire

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Colombes : La FCPE écrit au sujet des familles précaires exclues des cantines dans les écoles

5 Décembre 2019, 08:39am

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Colombes : La FCPE écrit au sujet des familles précaires exclues des cantines dans les écoles

Colombes : La FCPE écrit au sujet des familles précaires exclues des cantines dans les écoles

De : Union-Locale FCPE-Colombes <fcpecolombes@outlook.fr>
Envoyé : mercredi 20 mars 2019 08:49
À : Leila Leghmara
Cc : Union-Locale FCPE-Colombes; sophie.avignon@ac-versailles.fr; Marie-Françoise Jeanjean; Nadia.FRONTIGNY@mairie-colombes.fr; Michel.MOME@mairie-colombes.fr
Objet : [URGENT] – Familles précaires en attente d’inscription scolaire

 

 
Bonjour Mme Leghmara,
 
Nous sommes alertés par les écoles sur des cas de familles précaires qui n’arrivent toujours pas à effectuer leurs inscriptions scolaires auprès de vos services.
Ces familles habitent sur notre ville, leurs enfants sont dans des classes d’écoles de Colombes mais ils ne peuvent toujours pas vivre une vie normale d’écolier. Ils sont aujourd’hui notamment exclus de la cantine et des accueils péri-scolaires.
Cette situation est due à l’impossibilité de réunir tous les documents demandés.
En dépit de la fourniture de certificat d’hébergement par les hôtels et le SIAO 92 (voir PJ), vos services demandent des domiciliations bancaires aux adresses d’habitation ou des preuves supplémentaires d’habitation (courriers reçus aux adresses d’habitation).
Ces familles souvent prises en charge par les organismes caritatifs, déménagés d’hôtels en hôtels par le 115 n’ont pas la possibilité de fournir tous ces documents. La possibilité pour les enfants de disposer d’un repas équilibré à la cantine est souvent la seule de la journée. Les familles dépendent souvent des restos du coeur pour se nourrir.
En outre, l’impossibilité de laisser l’enfant à l’école le midi ne permet pas aux parents de disposer du temps pour trouver un emploi et sortir de la misère dans laquelle ils se trouvent.
 
Vous connaissez ces familles et les directeurs d’écoles également.
Elles habitent sur Colombes.
Elles ne sont pas nombreuses (quelques dizaines) et je fais appel à votre humanité pour que leur situation administrative scolaire soit régularisée au plus tôt.
Cela signifie un CMRS pour chaque enfant avec l’application automatique du quotient 1 au regard de la précarité absolue dans laquelle elles se trouvent.
 
Je vous remercie par avance pour vos actions en vue de ne pas pénaliser plus encore ces enfants et leur famille.
 
bien à vous,
 
Union-Locale FCPE-Colombes 
https://fcpecolombes.jimdo.com/
fcpecolombes@outlook.fr

 

De : Leila LEGHMARA <leila.leghmara@mairie-colombes.fr>
Envoyé : jeudi 21 mars 2019 19:15
À : Union-Locale FCPE-Colombes
Cc : sophie avignon; Marie-Françoise Jeanjean; Nadia FRONTIGNY; Michel MOME
Objet : Re: [URGENT] - Familles précaires en attente d'inscription scolaire

Monsieur Riandey,

J'ai déjà eu l'occasion de (vous) répondre à cette question. Je suis très attachée à la scolarisation des enfants. Cependant, à Colombes, à l'instar des autres villes du département, nous scolarisons les enfants qui habitent la commune. Pour ce faire, nous demandons la constitution d'un dossier avec présentation de certains justificatifs. La procédure est claire et transparente, elle est disponible sur le site de la ville.

Chaque lundi la commission se réunit pour examiner avec bienveillance les demandes de scolarisation.

J'espère vous avoir éclairé sur la procédure en vigueur.

Bien à vous,

Leïla Leghmara
Adjointe au Maire
Affaires Scolaires et Enfance
Conseillère Territoriale Boucle Nord Seine
Mairie de Colombes
Tél: 01 47 60 82 96

Colombes : La FCPE écrit au sujet des familles précaires exclues des cantines dans les écoles

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11 novembre 1918-2018 : que s'est-t-il passé quelques mois avant l'armistice ?

11 Novembre 2019, 10:00am

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11 novembre 1918-2018 : que s'est-t-il passé quelques mois avant l'armistice ?

11 novembre 1918-2018 : que s'est-t-il passé quelques mois avant l'armistice ?

 

 

Le sort de la guerre bascule à la mi-juillet 1918 avec l'échec définitif de l'offensive allemande lors de la "seconde bataille de la Marne" et les débuts d'une contre-offensive générale alliée. La stratégie préconisée par Ludendorff (remporter une victoire décisive avant la participation des soldats américains au combat) a échoué et il apparaît évident désormais que l'avantage, tant sur le plan numérique que sur celui des armements (chars et avions), penche très nettement du côté des Alliés. Le 8 août 1918, les Alliés réalisent une percée importante au sein des lignes allemandes à l'est d'Amiens, contraignant l'armée allemande à se replier sur la ligne Hindenburg. Le 26 septembre, Foch, commandant en chef des armées alliées, lance un assaut général contre les positions allemandes, sur un front de 350 kilomètres.

 

Affolé par cette attaque générale et craignant de voir l'ensemble de son front s'écrouler, le haut-commandement allemand estime qu'il faut demander l'armistice sans délai, sous peine d'une catastrophe militaire. Dans la nuit du 3 au 4 octobre, la demande est envoyée à l'ambassade allemande en Suisse qui la fait transmettre à l'ambassade américaine par l'entremise du gouvernement suisse. Mais cette demande d'armistice divise le camp allié avec d'un côté ceux qui pensent qu'après quatre années de guerre les combats doivent cesser le plus rapidement possible, et de l'autre ceux qui estiment que la guerre doit être menée jusqu'à une reddition sans conditions et qu'il n'est pas question de discuter avec l'empereur Guillaume II et sa "camarilla militaire". La première demande d'armistice allemande est refusée : un échange de notes se poursuit tout au long du mois d'octobre entre les gouvernements américains et allemands permettant de préciser les conditions d'un éventuel armistice. Le président Wilson affirme notamment qu'il n'acceptera de discuter qu'avec les envoyés d'un gouvernement représentatif du peuple allemand (ce qui exclut à la fois l'empereur et les militaires) et que les conditions de l'armistice placeront les Allemands dans l'impossibilité de reprendre la guerre.

Au début du mois de novembre, la situation se dégrade considérablement pour l'Allemagne. Ses alliés s'effondrent les uns après les autres (la Bulgarie signe l'armistice le 30 octobre, l'empire ottoman le 31 octobre, les Autrichiens le 3 novembre). Surtout, sur le plan intérieur, une révolution est sur le point d'éclater en Allemagne. Des troubles éclatent dans l'armée : alors que l'ordre avait été donné à la flotte de Haute Mer de sortir effectuer un baroud d'honneur, les marins se mutinent. A Kiel, la mutinerie prend un tour révolutionnaire : du 3 au 5 novembre, les matelots s'emparent des navires et forment un conseil d'ouvriers et de soldats. Un peu partout dans le pays, des comités de marins, de soldats, d'ouvriers prennent le contrôle de nombreuses villes (Hanovre, Cologne). A Berlin, d'importants troubles éclatent également, les spartakistes appelant à la révolution.

Alors que l'Allemagne est au bord de l'implosion et comprenant qu'il ne peut plus compter sur le soutien de l'armée, l'empereur Guillaume II abdique et s'enfuit aux Pays-Bas dans la nuit du 9 au 10 novembre 1918. Le chancelier Max de Bade démissionne et transmet ses pouvoirs au socialiste Friedrich Ebert. Pour le nouveau gouvernement, il n'était plus possible de différer la demande d'armistice au vu de la grave crise secouant l'Allemagne. Le ministre d'Etat Mathias Erzberger reçoit pour mission de signer coûte que coûte l'armistice, en essayant simplement d'obtenir quelques atténuations des conditions très dures exigées par les Alliés.

L'armistice est signé par les plénipotentiaires allemands le matin du 11 novembre 1918 dans le wagon de commandement du maréchal Foch installé dans la forêt de Compiègne, dans la clairière de Rethondes. Les conditions sont très dures pour l'Allemagne, qui doit remettre une grande partie de son armement et de son matériel de transport, évacuer tous les territoires occupés (y compris l'Alsace-Lorraine) ainsi que la rive gauche du Rhin. Sur la rive droite du Rhin, une zone de 10 kilomètres est démilitarisée depuis la frontière hollandaise jusqu'à la frontière suisse. Les Alliés gardent trois têtes de pont (Mayence, Coblence, Cologne). Tout est fait pour que l'armée allemande soit dans l'impossibilité de reprendre la lutte.

Quand le lundi 11 novembre l'armistice fut annoncé à la population, une liesse que certains ont décrite comme presque démente se déchaîna dans toutes les grandes villes alliées, notamment en France, pays qui a le plus souffert des combats. Dans toutes les villes de province et dans les moindres bourgades, des fêtes s'organisent, tandis que des illuminations et des drapeaux sont installés partout. A Paris, pendant deux jours, les places et les boulevards de la capitale sont noirs de monde. Lorsque le président du Conseil Clemenceau arrive à la Chambre des députés dans l'après-midi du 11 novembre il y est reçu au milieu d'acclamations frénétiques.

Dans les jours suivants, l'entrée des troupes françaises à Metz ou Strasbourg est l'occasion de véritables triomphes. A Metz, le 19 novembre, emportés par l'atmosphère, le président de la République Raymond Poincaré et Georges Clemenceau (qui se détestent) s'étreignent au milieu d'ovations inouïes tandis que le bâton de maréchal de France est remis au général Pétain. Dans les autres pays victorieux (Angleterre, Etats-Unis, Italie), des foules immenses acclament également la fin de la guerre et la victoire. En Angleterre, l'explosion de joie est, comme en France, très importante. Le travail cesse dans les boutiques et dans les bureaux aussitôt que la nouvelle de l'armistice se répand. Des cortèges se forment dans les rues souvent conduits par des aviateurs ou des soldats des Dominions. Un feu de joie est allumé au pied de la colonne Nelson dans Trafalgar Square. A la Chambre des Communes, dans l'après-midi du 11 novembre, Lloyd George peut déclarer : "j'espère que nous pouvons dire qu'en ce matin fatidique ainsi vint la fin de toutes les guerres". Une procession a lieu ensuite pour remercier Sainte Margareth, conduite par le Speaker de la Chambre immédiatement suivi par Lloyd George.

 

Éclairage média

Les cloches de la victoire et les scènes de liesse à Londres ou à Paris ne sauraient faire oublier une autre dimension du 11 novembre 1918 : à l'enthousiasme vibrant des uns répond en effet la douleur du deuil, l'amertume devant l'ampleur des sacrifices, une certaine peur de l'avenir devant des vies à reconstruire. Alors que la foule descendue dans les rues se montre particulièrement joyeuse, les visages graves de certains militaires défilant permettent de rappeler l'immense sacrifice réalisé au cours de quatre années d'une guerre sans précédent.

Après la guerre, les commémorations du 11 novembre prendront ainsi souvent une dimension pacifique importante : plutôt que de célébrer la victoire, on commémorera la mémoire des millions de soldats morts au combat afin de transmettre aux nouvelles générations le souvenir d'une véritable hécatombe qui devait être la dernière. Les images montrant à la fin du reportage une cérémonie devant le monument de la Pierre d'Haudroy (à proximité de la frontière belge), érigé en 1925 sur le lieu même où arrivèrent le 7 novembre 1918 à 20h20 les quatre voitures transportant les plénipotentiaires allemands chargés de signer l'armistice et portant l'inscription "ici triompha la ténacité des poilus", permettent de rappeler l'énorme sacrifice consenti par les soldats de la Grande Guerre. Forçant le respect et l'admiration, les anciens combattants occuperont d'ailleurs une place essentielle dans la société de l'entre-deux-guerres.

Fabrice Grenard

https://fresques.ina.fr/jalons/fiche-media/InaEdu04520/liesse-apres-la-signature-de-l-armistice-le-11-novembre-1918-muet.html

 

Lundi 11 novembre, rendez-vous à 10h30 pour le départ du cortège.

Voici le déroulé complet de la commémoration :

  • 9h : Départ de la délégation d'anciens combattants pour le fleurissement des tombes au Carré Militaire 1914-1918 du cimetière ancien.
  • 10h : Rassemblement du cortège à la Maison du Combattant.
  • 10h30 : Départ du cortège. Le cortège ira fleurir les plaques des rues du 11 novembre et des Anciens Combattants.
  • 11h20 : Cérémonie au Monument aux Morts - Dépôt de gerbes et allocutions (place du Souvenir et de la Résistance).


Une veillée au Monument aux morts aura lieu la veille, le 10 novembre à 18h.

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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11 novembre 1918-2018 : que s'est-t-il passé quelques mois avant l'armistice ?
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A Colombes, deux associations écologistes veulent peser sur les municipales

11 Avril 2019, 14:56pm

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A Colombes, deux associations écologistes veulent peser sur les municipales
A Colombes, deux associations écologistes veulent peser sur les municipales

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine|O.B. et C.P.|10 avril 2019, 15h13|0

« Colombes à vélo » et « Le Colombes que j’aime » s’unissent pour fonder « Colombes respire » à un an des prochaines élections.

Deux formations citoyennes de Colombes viennent de s’unir. D’un côté l’antenne locale de Mieux se déplacer à bicyclette (MDB), baptisée « Colombes à vélo », de l’autre le blog poil à gratter « Le Colombes que j’aime ». De leur union découle une nouvelle structure : « Colombes respire ». Le nouveau collectif organise sa soirée de lancement ce jeudi soir, non pas à Colombes mais à Bois-Colombes, au centre 72.

A un an des élections municipales, la démarche pourrait ressembler à une préfiguration de liste. Il n’en est rien. Mais « Colombes respire » ne cache pas son ambition de peser dans la campagne. « On veut influer sur les futurs candidats en leur préparant des dossiers », explique Lionel Faubeau, qui gère le blog Le Colombes que j’aime.

 

« Nous comptons proposer des pistes destinées à aboutir à une ville respirable », précise Joël Riandey, de Colombes à vélo. Ainsi, ce jeudi, tous les responsables politiques de la ville, majorité comme opposition, mais aussi les chefs d’établissements scolaires et d’autres personnalités locales sont invitées à la soirée de lancement.

Concrètement, le collectif Colombes respire, qui compte pour l’instant 9 membres, va mesurer ces prochains mois la qualité de l’air et les nuisances sonores en différents points. Cette enquête de terrain « citoyenne » permettra au think-tank écologiste de proposer aux élus locaux des solutions clés en main, pour planter des arbres ou limiter l’utilisation de la voiture. « Il faut inciter les gens à aller acheter le pain à pied, en vélo ou en trottinette », illustre Joël Riandey.

Jeudi 11 avril, à 19 heures au Centre 72, 72, rue Victor-Hugo à Bois-Colombes. colombesrespire.org

 
 

 

 

 

 

A Colombes, deux associations écologistes veulent peser sur les municipales

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