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LE COLOMBES QUE J'AIME

colombes

Vous souhaitez participer à la vie de votre quartier : inscrivez vous auprès de votre Conseil de quartier

21 Septembre 2017, 17:45pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Vous souhaitez participer à la vie de votre quartier : inscrivez-vous auprès de votre Conseil de quartier

 

A l’attention des membres des bureaux des Conseils de Quartier et des listes de diffusions

 

Mesdames, Messieurs,

 

Comme vous le savez, le mandat 2014-2017 touche à sa fin.

Pour rappel, les bureaux des conseils de quartier se composent de 3 collèges :

 

  • le collège des membres du conseil municipal - 4 sièges – mandat 6 ans
  • le collège des habitants - 14 sièges – mandat 3 ans
  • le collège des associations - 5 sièges – mandat 3 ans - incluant 2 sièges pour les associations de parents d’élèves siégeant aux conseils d’école (mandat 1 an).

Comme le prévoit la charte de fonctionnement, et afin de permettre une continuité dans l'activité des conseils de quartiers, les sièges du collège des Habitants seront pour moitié réservés aux membres du bureau sortant désireux de siéger pour le mandat 2017-2020 (soit 7 postes maximum).

 

Les inscriptions, sont maintenant ouvertes. Vous trouverez ci-joint les formulaires à remplir que vous devrez :

 

  • soit déposer en mairies de proximité (Aragon et Fossés jean) ou à l'accueil de la en mairie centrale
  • soit scanner et envoyer par mail à l’adresse conseils2quartier@mairie-colombes.fr.

N'hésitez pas à partager l'information aux personnes susceptibles d'être intéressées.

 

Bien cordialement.


L'équipe Démocratie Locale - Mairie de Colombes
Conseils de Quartier/Conseils de Ville

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@free.fr

@ilovecolombes

Vous souhaitez participer à la vie de votre quartier : inscrivez vous auprès de votre Conseil de quartier

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Vous souhaitez payer le gaz et l'électricité moins cher ?

20 Septembre 2017, 18:20pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Vous souhaitez payer le gaz et l'électricité moins cher ?

Attention inscription avant le 25/09.

l'UFC "Que choisir" lance sa nouvelle campagne pour payer son électricité et son gaz moins cher. Un appel d'offre sera lancé auprès des différents opérateurs, suite à l'ouverture du marché aux entreprises privées.

C'est la deuxième fois que l'UFC QUE CHOISIR lance cette opération. J'avais bénéficié de cette opération la 1ere fois me permettant réellement de faire une économie significative tout en ayant la "protection" du contrat par l'UFC QUE CHOISIR.

C'est donc avec plaisir et les "yeux fermés" que j'adhère à cette nouvelle campagne sous réserve qu'en fin de campagne la proposition soit intéressante ;=))

Vous pourrez trouver les modalités de cette campagne selon info de l'UFC ci-dessous et sur le site dont vous trouverez aussi le lien .

 

10 ans après la libéralisation des marchés de l’énergie, et alors que les conditions d’une véritable concurrence profitable aux consommateurs sont réunies sur les marché du gaz et de l’électricité, l’UFC-Que Choisir lance une nouvelle campagne « Énergie moins chère ensemble », comprenant plusieurs nouveautés, pour permettre aux consommateurs, par leur rassemblement, d’obtenir les meilleures offres sur les marchés du gaz et de l’électricité.

 

 

1ère nouveauté : pour des économies durables, des offres gaz et électricité classiques À PRIX FIXES 2 ANS

Pour répondre à l’attente des consommateurs d’une prévisibilité des tarifs, la campagne propose cette année un lot gaz et un lot électricité, à prix fixes 2 ans, le cahier des charges prévoyant, en outre, qu’à l’issue des 2 ans, le fournisseur lauréat ne puisse proposer une offre moins avantageuse que sa meilleure offre de marché. Cette extension de la période de fixité du prix est sans risque pour le consommateur qui peut, rappelons-le, changer de fournisseur à tout moment et gratuitement

2ème nouveauté : un lot « électricité - soutien aux petits producteurs renouvelable »

De même, soucieuse d’encourager l’investissement dans les petits sites de production d’électricité renouvelable, l’UFC-Que Choisir a instauré ce lot supplémentaire à côté de l’offre classique. L’électricité de ce lot doit provenir majoritairement de petits sites de production d’énergie renouvelable situés en France, étant entendu qu’un audit sera réalisé aux fins de vérifier la réalité de l’approvisionnement1. Compte tenu de ses caractéristiques, le bénéfice de cette offre (à prix fixe 1 an), ouverte à l’ensemble des inscrits, est limité aux 25 000 premières personnes qui souhaiteront y souscrire. 

Et toujours : la sécurité juridique comme valeur ajoutée

Comme pour les précédentes campagnes, l’UFC-Que Choisir entend, au-delà des prix, offrir une sécurité juridique aux consommateurs à travers des conditions contractuelles sûres, imposées par elle, et l’accompagnement des souscripteurs par la Fédération en cas d’éventuelles réclamations. Parmi les éléments imposés cette année dans le contrat client on trouve, par exemple, la possibilité de l’auto-relève, la facturation bimestrielle, la pluralité des modes paiement quel que soit le mode de facturation, le choix de la date de prélèvement en cas de mensualisation, ou encore la prise en compte des recommandations faites par la Commission des clauses abusives et le Médiateur national de l’énergie qui ne sont normalement pas contraignantes.

Le calendrier de la campagne « Énergie moins chère ensemble » est le suivant :
•    INSCRIPTION DES CONSOMMATEURS : jusqu’au 25 septembre (inclus) sur www.choisirensemble.fr ou auprès des associations locales UFC-Que Choisir participant à l’opération. L’inscription est gratuite et sans engagement. Pour l’électricité, les inscrits pourront demander à recevoir les deux offres (classique et de soutien aux petits producteurs de renouvelable) afin de les comparer.

•    ENCHÈRES INVERSÉES : chacune des 3 offres lauréates sera dévoilée le 26 septembre 2017.
•    OFFRES PERSONNALISÉES : à compter du 16 octobre, chaque inscrit recevra une offre personnalisée sur la base de son profil de consommation. Il reste libre de souscrire ou non aux offres reçues.

Indépendance oblige, pour couvrir les frais d’organisation, une participation de 10 euros sera demandée aux souscripteurs pour une énergie, et 14 euros pour les deux énergies (réduite respectivement à 5 et 8 euros pour les adhérents aux associations locales ou abonnés aux publications de l’UFC-Que Choisir, au jour de leur inscription).

Alors que les tarifs de l’énergie restent une préoccupation majeure des Français, l’UFC-Que Choisir appelle donc : 
•    tous les abonnés au gaz de ville et à l’électricité (abonnés au tarif réglementé, aux offres du marché libre), desservis par les gestionnaires nationaux de réseau (Enedis (ex ERDF)/GRDF), à s’inscrire sur le site dédié www.choisirensemble.fr 
•    les fournisseurs nationaux de gaz et d’électricité à jouer le jeu de la concurrence au service des consommateurs.

Notes

1 Au moins 70 % de l’électricité fournie annuellement sera issue de sites de production présentant les caractéristiques suivantes :
1.    Installation de type éolien terrestre ou offshore (avec une puissance inférieure ou égale à 10 MW)
2.    Installation de type photovoltaïque (avec une puissance inférieure ou égale à 250 kWc)
3.    Installation de type hydraulique (avec une puissance inférieure ou égale à 20 MW). 
Cette part de la fourniture devra être produite sur le territoire français. Pour les 30 % restants, l’électricité fournie devra également provenir de sources renouvelables, sans restriction technologiques ou géographiques ou donner lieu à l’achat en équivalent de garanties d’origine.

 

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@free.fr

@ilovecolombes

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Ex-Députés que deviennent -ils ? interview d'Alexis BACHELAY ancien Député de la circo 9201 des Hauts de Seine Colombes Nord, Gennevilliers et Villeneuve

20 Septembre 2017, 17:35pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Ex-Députés que deviennent -ils ? interview d'Alexis BACHELAY ancien Député de la circo 9201 des Hauts de Seine  Colombes Nord, Gennevilliers et Villeneuve

 

Ex-Député que deviennent -ils ? interview d'Alexis BACHELAY ancien Député de la circo 9201 des Hauts de Seine pour lecolombesquejaime

Fier de sa vocation d'utilité citoyenne, le blog citoyen de Colombes a souhaité interroger un candidat sortant aux élections législatives de juin 2017 en se posant simplement la question de savoir ce qui se passe après une élection pour laquelle le candidat n'a pas vu son mandat reconduit .

C'est au cours du forum des associations de Colombes, dans un local éloigné des bruits et du tumulte de cet événement, que nous avons interroger l'ex Député de la circo 9201 : M Alexis BACHELAY sur sa vie après l'élection et son avenir comme Colombien

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@free.fr

@ilovecolombes

Ex-Député que deviennent -ils ? interview d'Alexis BACHELAY ancien Député de la circo 9201 des Hauts de Seine  Colombes Nord, Gennevilliers et Villeneuve

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Sénatoriales dans les Hauts-de-Seine : c’est le grand bazar

19 Septembre 2017, 17:42pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Sénatoriales dans les Hauts-de-Seine : c’est le grand bazar

Avec cinq listes conduites par des candidats LR, et une UDI, la droite du 92 se présentera totalement divisée le 24 septembre… Mais la gauche, avec trois listes, n’est même pas sûre d’en profiter.

Après sa déroute aux législatives, où elle n’a conservé que deux sièges de député (dont celui du très Macron-compatible Thierry Solère), la droite des Hauts-de-Seine partira divisée comme jamais lors des sénatoriales, pour lesquelles le dépôt des listes s’achevait ce vendredi soir. Mais la gauche, avec une liste DVG conduite par un communiste, une liste PS et une liste EELV, se présentera également en ordre dispersé. De quoi donner des ambitions à la République en Marche, dont la tête de liste (André Gattolin), est sénateur sortant… élu sous la bannière EELV.

La « liste officielle » de Karoutchi contestée

Après la vague bleue des municipales 2014, où elle avait raflé de nombreuses villes à la gauche (Asnières, Clamart, Clichy, Colombes…), la droite (LR et UDI) disposerait d’environ 1 750 grands électeurs, encartés ou sympathisants, sur les 2 345 que compte le département… Ce qui aurait dû lui assurer une razzia aux sénatoriales. « Avec une liste unique, nous aurions pu faire cinq sièges sur sept », assure le sénateur et patron des LR dans le département, Roger Karoutchi.

 

 

Sauf que la situation a engendré « des idées, des envies », souffle celui qui, à la tête de la « liste officielle » de son parti, devra faire face… à quatre listes dissidentes ! Il met en garde « le risque de perdre un siège » avec la dispersion des voix. « Je dis attention, car nous ne sommes pas certains de conserver la majorité au Sénat », prévient-il.

La deuxième chance des battus aux législatives

Le sortant fera face à de nombreux maires LR dissidents, dont beaucoup ont été candidats malheureux aux législatives. « Il n’y a pas de sentiment de revanche, d’autant que ce ne sont pas les électeurs qui voteront », assure le maire (LR) de Saint-Cloud, Eric Berdoati.

Lui ne se reconnaissait pas dans la liste officielle des Républicains. « Il faut tirer les enseignements de ce qui s’est passé à la présidentielle et aux législatives », assume-t-il. Certain du désir de renouvellement de la classe politique. « Or, sur la liste officielle, les trois premiers noms sont les mêmes qu’en 2004, il y a 13 ans », tacle-t-il.

« La liste LR s’est auto-désignée, sans consulter aucun élu », critique l’édile (LR) du Plessis-Robinson, Philippe Pemezec, qui conduira une « liste des maires » aux côtés notamment de Georges Siffredi et Joëlle Ceccaldi­-Raynaud.

La division pourrait profiter à la liste UDI du sénateur-maire de Meudon, Hervé Marseille, qui se marre : « Pour une fois, ce sont les centristes qui font l’unité ! »

PCF, PS, EELV… la gauche déchirée

Car ce n’est pas à gauche qu’il faudra la trouver. Dans un contexte national nébuleux, le PS, mené par son patron dans le 92, Xavier Iacovelli, a un siège à défendre. « Nous sommes la force centrale face à la droite du département, assure-t-il. Nous avons la base électorale la plus forte. »

Ce n’est pas l’avis du conseiller général (PCF) Pierre Ouzoulias : « La liste PS ne représente qu’elle-même », égratigne celui qui conduira une équipe où l’on retrouve la sénatrice communiste sortante, Brigitte Gonthier-Maurin, mais surtout deux transfuges, qui se sont mis en retrait de leurs partis respectifs, Francis Poézévara (ex-PS), Carmelina de Pablo (ex-EELV).

Une brèche pour les Macronistes ?

Quid alors du mouvement En Marche, qui a raflé 10 circos (sur 13), aux législatives ? Son candidat, André Gattolin, avait été élu en 2011 sous les couleurs… d’EELV. Il mènera une liste composée de personnalités venues d’horizons très divers. « Ma numéro 2 vient des Républicains, mon n°3 de l’UDI, ma n°4 était au PS… » énumère le sénateur sortant, qui, s’il reconnaît un « potentiel électoral difficile à calculer », veut croire à sa réélection, voire au gain d’un deuxième siège LREM au Sénat.

Les listes dans les Hauts-de-Seine*

 

- Roger Karoutchi (liste LR officielle), Isabelle Debré, Jacques Gautier, Marie-Do Aeschlimann, Benoit Bouldoires, Nassera Hamza, Philippe Ribatto.

 

- Eric Berdoati (LR dissident), Alexandra Fourcade, Fabien Hubert, Sybille D’Aligny, Stéphane Pesic, Anne-Louise Mesadieu, Jean Prévost.

 

- Ingrid Desmedt (LR dissidente), Eric Justice, Nathalie Renault, Samuel Metias, Marie Luciot, Guillaume Sergent, Sophie De Lamotte.

 

- Philippe Pemezec (LR dissident), Christine Lavarde, Georges Siffredi, Joëlle Ceccaldi­-Raynaud, Rémi Muzeau, Nicole Goueta, Grégoire de la Roncière.

 

- Bernard Lepidi (LR dissident), Karin Schoubye, Jean-Charles Thouery, Alix Davonneau, Jacques Schleiffer, Sylvie Amouroux, Jean-Damien de Sinzogan.

 

- Hervé Marseille (UDI), Sylvie Mariaud, Philippe Laurent, Marie-Pierre Limoge, Étienne Lengereau, Christine Quillery, Laurent Vastel.

 

- André Gattolin (En Marche), Catherine Marle, Jean-François Rouzières, Martine Gouriet, Alexandre Bocquillon, Delphine Meric, Michel Rakotoanosy.

 

- Pierre Ouzoulias (FG-PC), Zahra Boudjemaï, Francis Poézévara, Carmelina de Pablo, Saliou Ba, Brigitte Gonthier-Maurin, Jean-Marc Feuillade.

 

- Xavier Iacovelli (PS), Thérèse Ngimbous Batjom, Thierry Besançon, Fabienne Gambiez, Vivien Gasq, Cécile Pavageau, Francis Pian

 

- Catherine Candelier (EELV), Rodéric Aarse, Marie-Claude Fournier, David Mbanza, Annie-Laure Hagel, Vincent Dubail, Ghizlaine Guessous.

 

- Laurent Salles (FN), Floriane Deniau, Tommy Anou, Julia Carrasco, Damien Yvenat, Lucia Laporte, Richard Croche.

 

*Elles doivent encore être validées par le ministère de l’Intérieur, d’ici au 15 septembre.
Comment ça marche ?

 

Contrairement à la présidentielle, aux municipales ou encore aux législatives, les sénateurs ne sont pas élus au suffrage universel direct, mais indirect. C’est-à-dire que les votants sont des « grands électeurs », qui ont préalablement été élus par les citoyens : il s’agit donc des députés, conseillers régionaux, départementaux et municipaux.

 

Leur vote est également obligatoire (sous peine d’amende). En revanche, comme pour les autres scrutins, chaque grand électeur se déplace dans son bureau de vote où il dispose d’un isoloir. Il vote alors pour une liste et les sénateurs sont désignés à la proportionnelle. 

 

Quand au sénateur élu, il représente l’ensemble de son département (et non une circonscription). Son mandat dure six ans. Le Palais du Luxembourg est renouvelé de moitié tous les trois ans.

Anthony Lieures (avec V.T.)  leparisien.fr

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine>Antony|Anthony Lieures (avec V.T.)|08 septembre 2017, 22h21 | MAJ : 11 septembre 2017, 10h55

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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Sénatoriales dans les Hauts-de-Seine : c’est le grand bazar

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Colombes - Inscription scolaire : le "parcours du combattant" des nouveaux parents qui habitent Colombes : "on se fait balader alors que dès le départ les dés sont pipés"

19 Septembre 2017, 12:00pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Colombes - Inscription scolaire : le "parcours du combattant" des nouveaux parents qui habitent Colombes : "on se fait balader alors que dès le départ les dés sont pipés"

Des nouveaux Colombiens qui sont aussi parents souhaitent s'exprimer sur le blog qui expliquer leurs mésaventures.

Il me semblait que la priorité de la Mairie était de rassembler les fratries et de prendre en compte la situation professionnelle des parents mais il semble que tel ne soit pas le cas pour ce jeune couple de Colombes.  

.....

"Suite à l’acquisition de notre pavillon début août, nous venons d’emménager à Colombes. Nous avions signé notre compromis de vente mi-avril. Cet emménagement à Colombes est un vrai choix de notre part en raison de notre proximité avec la ville (nous vivions jusqu’à présent à Bois-Colombes au 4 routes). Notre fille va entamé sa 4ème année de patin à glace au club de Colombes, notre fils va au théâtre près de la gare de Colombes, nous faisons nos courses à Colombes depuis près de 10 ans. Bref, nous nous sommes toujours senti chez nous a Colombes.

Une fois les délais légaux et les diverses obligations concernant l’achat de notre logement fini, quand nous avons eu la certitude que nous allions venir sur la ville, nous avons entamés les démarches pour inscrire nos enfants à l’école. La première "mauvaise" surprise fut de constater que notre fils irait dans une école maternelle n’appartenant pas au même groupe scolaire que sa soeur (en primaire). La deuxième est que nous habiterions a mi chemin entre ces 2 écoles mais que à proximité de l’école de notre fille une maternelle était présente (moins de 30m).

Mi-juin, nous nous sommes rendu en mairie pour inscrire nos enfants ou nous avons été bien accueilli mais très mal renseigné. Les papier d’inscriptions qui nous ont été donné était ceux pour le périscolaire, que nous avons renvoyé par e-mail. Malgré l’accusé réception, reçu de la mairie personne n’a jugé bon de nous indiquer qu’une erreur avait été commise. De plus, lors de cette première visite, nous avons expliquer notre problème d’écoles séparées et le personnel nous a vivement encourager à demander une dérogation.

Fin juillet, devant l’absence de document d’inscription, nous avons contacter la mairie. Notre dossier avait été jeté car incorrect (inscription périscolaire, demande de dérogation …). Après avoir tout re-rempli en urgence, le personnel présent ce jour nous a encore encouragé à demander une dérogation pour inscrire notre fils a proximité de sa soeur en nous disant que l’élu décide.

Arrivant à une semaine de la rentrée et sans retour de la mairie, nous avons tenté de joindre quelqu’un qui pourrait nous dire ou en était notre demande de dérogation. Après 3 jours de parcours du combattant (« c’est pas moi c’est madame… ou monsieur…", "laissez votre numéro je transmet », « je sais pas, c’est l’élu qui décide » ), nous avons fini par recevoir la réponse suivante : « Les dossiers doivent passer en commission, il fallait l’envoyer avant le 28 avril. N’étant pas de nature patiente, une certaine colère ma poussé a cette réflexion : Si le personnel municipale du service des inscriptions scolaires nous a encourager à demander une dérogation ("c’est l’élue qui décide, faites une demande directement » phrase entendue une bonne centaine de fois lors de ces derniers jours) alors que nous étions hors délai par rapport à la commission de dérogation, c’est soit que ce personnel n’a pas les compétences nécessaires pour gérer les demandes, soit qu’il n’a pas envie de s’en occuper, soit qu’il n’est pas au courant de l’existence de ses commissions, les rendant de fait caduques face a la loi. Après un grand nombre de coup de téléphones, ne pouvant admettre que nous étions hors d’un délai intenable vis à vis de notre situation, nous avons réussit, à 2 jours de la rentrée à avoir une explication de l’élue. Une commission existe bien mais sur les 12 demandes (en comptant la notre) de dérogation juste pour l’Ecole Camille Claudel vers Victor Hugo maternelle aucune n’est accordée faute de place. Commission fantôme ??? Je laisse a chacun la liberté d’apprécier.

Nous avons le sentiment profond de nous être fait balader alors que dès le départ les dés sont pipés. Une pure perte de temps et d’énergie. Notre fils étant à une année scolaire de rejoindre sa soeur, nous avons décidé de ne pas porté le dossier devant le tribunal administratif.

Mais si onze demandes de dérogations (12 avec la notre) rien que pour Camille Claudel —> Victor Hugo, combien de dérogations de Camille Claudel —> les autres écoles au totale ont été demandées et accordées ?? Je suis à peu près sur que le nombre de demandes se situe entre 30 et 40 (plus proche des 40 à mon avis, mais je peux me tromper) mais que le nombre d’acceptations se compte sur les doigts d’une main. Tout ceci remet en cause l’existence même de l’école Camille Claudel et son intérêt pour le publique. La notion de service publique adaptée au publique semble ici bien approximative. Peut être la mairie et l’éducation nationale devraient revoir l’implantation / carte scolaire et adapter le nombre de classe à la hausse dans les établissements demandés par les dérogations et diminuer celle de l’école Camille Claudel. Dans le privé quand un service n’est pas adapté aux clients, on s’adapte ou on perd ses clients. Au vu du montant des impôts que notre foyer paye chaque année, a l’état et aux communes, je considère que nous sommes clients du service publique. Le terme usagés, n’est qu’une excuse pour la fonction publique pour infantiliser les gens et rejeter sur eux les errances du système.

Dans tous les cas, mon épouse et moi même ayant des emplois du temps professionnels compliqués, nos enfants vont devoir subirent des journées a rallonge, un temps important passé au périscolaire et pour notre fille, jusqu'à 12 km (environ 2H) par semaine de marche supplémentaire pour accompagner son frère a l’école.

Bienvenue a Colombes"


 

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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Colombes - Inscription scolaire : le "parcours du combattant" des nouveaux parents qui habitent Colombes : "on se fait balader alors que dès le départ les dés sont pipés"

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