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LE COLOMBES QUE J'AIME

goueta

Une sortie ratée à l'école Jules Verne de Colombes ce 18 juin : la Mairie manque à l'Appelo

20 Juin 2018, 17:26pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Une sortie ratée à l'école Jules Verne de Colombes pour ce 18 juin : la Mairie manque à l'Appel

Préparée depuis plusieurs mois entre l'école et la Mairie , cette sortie des enfants devait être la sortie de fin d'année.

Objectif : visiter la Villette  (la Cité des sciences)

Malheureusement, la Mairie s'est trompée dans l'heure de réservation des cars .

Aucune solution de remplacement n'a été trouvée par la Mairie malgré cette faute,  ce qui a entraîné des déçus en passant par les enfants, les enseignants et les parents qui avaient pris un RTT ou Congé Payé ce jour.

Un APPEL manqué en ce 18 juin !

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@gmail.com

@ilovecolombes

Une sortie ratée à l'école Jules Verne de Colombes

Une sortie ratée à l'école Jules Verne de Colombes

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Autolib, une bombe à retardement pour Colombes !.

20 Juin 2018, 08:01am

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Autolib, une bombe à retardement pour Colombes !.

 

AUTOLIB……. UNE BOMBE A RETARDEMENT POUR COLOMBES !!!

                           

Chèr(e)s ami(e)s du Collectif,

Le magazine Challenges vient de le confirmer, les Autolib vont bientôt passer à la casse.

Comme nous l’avions pressenti lors de la mise en place des bornes à Colombes, l’équilibre financier n’a jamais été atteint, et cerise sur de gouffre financier, le service se dégrade, de nombreuses voitures sont sales et pas ou peu entretenues.

Décryptage :

En 2011 Vincent Bolloré et la Mairie de Paris ont lancé ce service d’auto-partage, présent à Paris et dans 103 autres villes en Île de France. Comme nous l’avions souligné dans notre article rédigé en septembre 2012 lors de l’installation des stations à Colombes, à l’époque nous mettions déjà fortement en doute sa rentabilité.

 

Tout comme pour la DSP signée à Colombes avec Q-Park, les 103 communes ont accepté des conditions effarantes et effrayantes en termes de responsabilités financières.

 

En effet, sans compter les frais d’installation des stations à leur charge, elles ont accepté d’assumer financièrement la totalité du déficit en cas de problème de rentabilité, à la grande satisfaction du groupe Bolloré qui limiter très fortement ses pertes en cas ee déficit en ne prenant qu’un maximum de 60 millions d’€ à sa charge.

 

Selon le magazine Challenges la rentabilité n’a jamais été atteinte, les pertes prévisionnelles en 2023 devraient  atteindre selon le groupe Bollré la somme astronomique 297,6 millions d’€ !!!!!      

Sur ces 297,6 millions d’€ de pertes, le groupe Bolloré ne prendra donc que 60 millions d’€ à sa charge…….alors que 237,6 millions seront donc à la charge des communes en fonction du nombre de bornes situées sur leur territoire.

Or sur les 3980 bornes en service, il y en a environ 90 à Colombes.

La règle de trois est simple, Colombes devrait payer la somme démentielle de près plus de   5 millions d’€ !!!!

Dans ce dossier, comme Mme Goueta à Colombes en 2004 pour le contrat Q-Park, les édiles du syndicat mixte ont accepté des clauses inacceptables et inconcevables en cas de pertes !!!

Et comme dans le dossier des autoroutes, gageons que les juristes du groupe Bolloré ont « blindé » leur contrat pour ne laisser aucune possibilité juridique aux communes composants le syndicat mixte.

 

La preuve ? Même le gouvernement a plié devant les sociétés d’autoroute !!!

 

ANNULATION !

Le Collectif Indépendant de Colombes

Témoignez sur parkinggratuit92@gmail.com et nous diffuserons vos informations.                                            Retrouvez toutes nos publications sur www.lecolombesquejaime.fr

Autolib, une bombe à retardement pour Colombes !.

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Accès des handicapés aux HLM et loi Elan : "Une régression sous le poids des lobbys du bâtiment"

8 Juin 2018, 17:17pm

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Accès des handicapés aux HLM et loi Elan : "Une régression sous le poids des lobbys du bâtiment"

Selon Stéphane Peu : 

On va créer une autre fracture sociale, parce que l'évolutivité d'un logement, ça coûte en 3000 et 12 000 euros. Pour l'instant les aides ne couvrent pas plus de 40% des frais : des personnes âgées ne pourront jamais faire évoluer leur logement

L'accessibilité des logements neufs aux personnes handicapées

C'est l'un des textes les plus controversés du projet de loi Elan, l'accessibilité des logements neufs aux personnes handicapées. Les députés ont approuvé un quota obligatoire. Alors qu'actuellement 100 % des logements doivent être adaptés, ce seuil va descendre à 10 %. Si le secrétaire d'État, Julien Denormandie, explique que les logements seront, à la place, "évolutifs", c'est-à-dire adaptables grâce à des travaux "simples", les personnes handicapées et plusieurs associations font part de leur incompréhension. D'autant qu'il y a beaucoup à faire, encore, pour améliorer l'accessibilité. Les professionnels de l'immobilier assurent que des dérogations sont aujourd'hui possibles à la demande des acquéreurs de logements neufs et font perdre un temps précieux aux promoteurs et aux constructeurs. Les associations de défense des personnes à mobilité réduite dénoncent "une grave régression sociale".

 

 

Examen du projet de loi ÉLAN à l’Assemblée nationale : les propositions de la Fédération

 

Après avoir été examiné en commission des affaires économiques, le projet de loi « Évolution du logement, de l’aménagement et du numérique » (ÉLAN) a fait son entrée en séance publique à l’Assemblée nationale le 30 mai.

Composé d’une soixantaine d’articles répartis en quatre titres (« Construire plus, mieux et moins cher », « Évolution du logement social », « Répondre aux besoins de chacun » et « Améliorer le cadre de vie »), le texte doit donner corps à la « Stratégie Logement » du gouvernement et provoquer le « choc d’offre » tant attendu par les 4 millions de personnes mal-logées que compte le pays.

Le projet de loi ÉLAN est contraire à la philosophie du « Logement d’abord »

Si le texte est présenté comme le résultat d’un compromis entre la volonté de « Libérer pour offrir de nouvelles opportunités » et de « Protéger afin de donner plus à ceux qui ont moins », la Fédération des acteurs de la solidarité déplore un texte déséquilibré et marque un recul en matière de protections locatives et de production de logement abordable. Si des mesures positives comme la poursuite de la réforme des attributions de logements sociaux, l’articulation des procédures de prévention des expulsions locatives et de surendettement, ou encore le renforcement des sanctions à l’encontre des marchands de sommeil sont contenues dans le texte, le projet de loi ne favorise pas les objectifs du Plan quinquennal « Logement d’abord ». Sans modifications substantielles il ne permettra pas l’accès durable au logement des personnes sans domicile.

Quand le Plan quinquennal entend développer l’offre locative très sociale, prévenir les expulsions locatives le plus en amont possible et mieux accompagner les personnes sans domicile vers l’inclusion, le projet de loi ÉLAN prévoit :

  • La vente de 40 000 logements sociaux par an contre 8 000 aujourd’hui, alors que 2 millions de ménages sont en attente d’une proposition de logement
  • L’affaiblissement de la loi SRU en permettant aux communes de déduire pendant 10 ans les logements sociaux vendus de leurs obligations de production
  • Le développement des logements intermédiaires, alors que les trois quarts des ménages en attente d’un logement social sont éligibles aux PLAI
  • La création d’un « bail mobilité » d’une durée de 1 à 10 mois non renouvelable et qui échappe aux garanties élémentaires habituellement consenties au locataire (diagnostics techniques, contrôle des congés donnés par le bailleur, mise en conformité avec les normes de décence, quittance de loyer, prévention des expulsions locatives, encadrement des loyers, etc.)
  • La réduction du dispositif d’encadrement des loyers créé par la loi ALUR à un outil expérimental et facultatif pour les communes
  • La dégradation des normes d’habitabilité des locaux vacants réquisitionnés à des fins d’hébergement d’urgence
  • L’affaiblissement du droit au logement des personnes en situation de handicap par la suppression de l’obligation de produire des logements qui leur soient systématiquement accessibles
  • La réforme des modalités de contractualisation entre les associations d’hébergement et l’État visant à réaliser 57 millions d’euros d’économies sur l’accueil des personnes sans domicile au cours du quinquennat
Les propositions d’amendements de la Fédération

Ces dernières semaines, la Fédération des acteurs de la solidarité tout comme ses partenaires du Collectif des associations unies, du Collectif Vive l’APL ! ou de l’UNIOPSS se sont fortement mobilisé.e.s pour proposer une analyse alternative du projet de loi, sensibiliser les député.e.s de la nouvelle Assemblée à ses conséquences sociales néfastes et formuler des propositions d’amendements susceptibles de l’améliorer. La Fédération s’est particulièrement attachée à transcrire les conditions de réussite essentielles du Logement d’abord dans la loi :

1. Renforcer la production d’une offre locative abordable
  • Fixer des objectifs de développement de « PLAI adaptés » dans les programmes locaux de l’habitat et dans les communes déficitaires en logements sociaux
  • Inciter les communes déficitaires en logements sociaux à produire des « PLAI adaptés » en les décomptant deux fois de leurs objectifs
2. Favoriser l’accès direct des personnes sans domicile au logement
  • Intégrer des objectifs concourant au « Logement d’abord » dans les conventions d’utilité sociale des organismes HLM
  • Intégrer des engagements concourant au « Logement d’abord » dans les accords collectifs intercommunaux, départementaux et dans les conventions intercommunales d’attribution
  • Proposer une offre de logement adaptée aux demandeurs de logement social dont les dossiers ont été rejetés pour ressources insuffisantes
  • Permettre aux services intégrés d’accueil et d’orientation (SIAO) d’enregistrer les dossiers des personnes sans domicile dans le logiciel de gestion du contingent préfectoral SYPLO et développer le conventionnement entre SIAO et l’ensemble des titulaires de droits de réservation et bailleurs sociaux
  • Associer les SIAO aux plans partenariaux de gestion de la demande de logement social et d’information du demandeur
  • Encadrer la réorientation des demandes de logement vers l’hébergement par les commissions de médiation dans le cadre du droit au logement opposable (DALO)
  • Permettre aux familles en séjour régulier dont l’un des conjoints est en attente de la délivrance de son titre de séjour d’accéder au logement social
3. Maintenir un parc d’hébergement digne et inconditionnel
  • Rétablir les normes d’habitabilité lors des réquisitions de locaux vacants destinés à l’hébergement d’urgence
  • Transformer les places d’hébergement d’urgence en places d’hébergement et de réinsertion sociale (CHRS) dans des conditions préservant un accueil digne et un accompagnement adapté aux personnes en situation de précarité
  • Garantir l’unité des familles dans l’hébergement d’urgence et développer les projets d’humanisation des structures
  • Étendre l’inconditionnalité de l’accueil aux places d’hébergement d’urgence financées par l’aide au logement temporaire
  • Améliorer la programmation territoriale des services d’accueil et d’accompagnement destinés aux personnes sans abri ou hébergées

 

 

SOURCE:

http://www.federationsolidarite.org/champs-d-action/hebergement-logement/8820-examen-du-projet-de-loi-%C3%A9lan-%C3%A0-l%E2%80%99assembl%C3%A9e-nationale-les-propositions-de-la-f%C3%A9d%C3%A9ration

https://www.franceinter.fr/societe/loi-elan-sur-le-logement-les-sujets-qui-fachent

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

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Accès des handicapés aux HLM et loi Elan : "Une régression sous le poids des lobbys du bâtiment"
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Hauts de Seine : la FCPE mobilisée pour l'hébergement d'urgence des enfants

7 Juin 2018, 07:25am

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Hauts de Seine : la FCPE mobilisée pour l'hébergement d'urgence des enfants 

Hébergement d’urgence – mobilisation des parents d’élèves contre les expulsions des familles

 

Depuis le début du mois d’avril, de nombreuses familles hébergées à l’hôtel par le 115 se voient notifier la fin de leur prise en charge. Concrètement, il leur est demandé de quitter les lieux dans un délai de 15 jours à 1 mois, sans qu’aucune autre solution d’hébergement ne leur soit proposée.

En effet, le pôle urgence du SIAO 92 applique désormais des critères de priorisation pour l’hébergement d’urgence à l’hôtel : présence d’au moins un enfant de moins de trois ans, femme enceinte, situation de vulnérabilité spécifique.

 

L’application de ces critères conduit à la fin de la prise en charge par le 115 de nombreuses familles dès lors que leur dernier enfant a plus de 3 ans, sans aucune proposition d’hébergement, ce qui signifie une mise à la rue.

 

De nombreuses familles dont les enfants sont scolarisés dans nos écoles sont concernées, elles sont épaulées localement par les adhérents FCPE, c’est le cas à Nanterre, Colombes, Malakoff, Gennevilliers….

 

La FCPE des Hauts-de-Seine était représentée lors de la conférence de presse le 29 mai et au rassemblement organisé devant la préfecture mercredi 30 mai après-midi.

Voir l’article du Parisien ci-dessous. :

http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/hebergement-d-urgence-mobilisation-a-nanterre-devant-la-prefecture-30-05-2018-7744356.php

 

Avec plusieurs associations de citoyens des Hauts-de-Seine nous demandons :

  • au Préfet une levée immédiate des critères mis en œuvre par le SIAO92,
  • au SIAO92 de reprendre en charge les familles en rupture d’hébergement, et de leur proposer une solution adaptée à leur situation (hébergement ou logement pérenne).

 

Si vous rencontrez des personnes concernées par cette situation, reportez-vous au document en pièce jointe « situation urgente que faire », communiquez vos démarches pour information au CDPE : cdpe@fcpe92.fr

 

Bien cordialement

 

Abdelkrim MESBAHI

Président

Philippe NICOLAS

Secrétaire général

 

 

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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Colombes : la municipalité suit le model de LEVALLOIS en muselant l'opposition au Conseil Municipal en limitant le temps de parole à 10 minutes contre 20 auparavant...

7 Juin 2018, 07:23am

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Colombes : la municipalité suit le model de LEVALLOIS en muselant l'opposition au Conseil Municipal en limitant le temps de parole à 10 minutes contre 20 auparavant...  

Un recours est en cours par les élus de l'opposition concernant notamment le temps de parole qui passe de 20 minutes à 10 minutes.

La Municipalité LR de Colombes suit le model de la Municipalité LR de LEVALLOIS qui avait aussi en son temps diminuée le temps de parole de l'opposition passant à 5 minutes.

Certains pourront dire que l'opposition de Colombes ont un temps de parole 2 fois plus important qu'à LEVALLOIS ;=))

La Mairie de Colombes expliquant que la pluralité des groupes d'opposition rend nécessaire de contrôler le temps de parole MAIS cela ne s'applique pas aux Maires Adjoints...

Un chronomètre s'affiche même au dessus des écrans de contrôle lors du Conseil Municipal.

Pourtant la Ville de LEVALLOIS PERRET et sa majorité LR à bien été censurée par le tribunal administratif de Versailles en annulant deux articles du règlement intérieur : le premier, qui limitait le temps de parole des conseillers municipaux à cinq minutes, et le deuxième, qui interdisait toute tribune libre sur le site Internet de la ville. 

La Municipalité LR de Colombes maintien sa position . Il faudra attendre dans un premier temps la réponse du Préfet.

 

Île-de-France & Oise > Hauts-de-Seine > Levallois-Perret|25 septembre 2009, 7h

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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Colombes : la municipalité suit le model de LEVALLOIS en muselant l'opposition au Conseil Municipal en limitant le temps de parole à 10 minutes contre 20 auparavant...

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