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LE COLOMBES QUE J'AIME

Sénatoriales dans les Hauts-de-Seine : c’est le grand bazar

19 Septembre 2017, 17:42pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Sénatoriales dans les Hauts-de-Seine : c’est le grand bazar

Avec cinq listes conduites par des candidats LR, et une UDI, la droite du 92 se présentera totalement divisée le 24 septembre… Mais la gauche, avec trois listes, n’est même pas sûre d’en profiter.

Après sa déroute aux législatives, où elle n’a conservé que deux sièges de député (dont celui du très Macron-compatible Thierry Solère), la droite des Hauts-de-Seine partira divisée comme jamais lors des sénatoriales, pour lesquelles le dépôt des listes s’achevait ce vendredi soir. Mais la gauche, avec une liste DVG conduite par un communiste, une liste PS et une liste EELV, se présentera également en ordre dispersé. De quoi donner des ambitions à la République en Marche, dont la tête de liste (André Gattolin), est sénateur sortant… élu sous la bannière EELV.

La « liste officielle » de Karoutchi contestée

Après la vague bleue des municipales 2014, où elle avait raflé de nombreuses villes à la gauche (Asnières, Clamart, Clichy, Colombes…), la droite (LR et UDI) disposerait d’environ 1 750 grands électeurs, encartés ou sympathisants, sur les 2 345 que compte le département… Ce qui aurait dû lui assurer une razzia aux sénatoriales. « Avec une liste unique, nous aurions pu faire cinq sièges sur sept », assure le sénateur et patron des LR dans le département, Roger Karoutchi.

 

 

Sauf que la situation a engendré « des idées, des envies », souffle celui qui, à la tête de la « liste officielle » de son parti, devra faire face… à quatre listes dissidentes ! Il met en garde « le risque de perdre un siège » avec la dispersion des voix. « Je dis attention, car nous ne sommes pas certains de conserver la majorité au Sénat », prévient-il.

La deuxième chance des battus aux législatives

Le sortant fera face à de nombreux maires LR dissidents, dont beaucoup ont été candidats malheureux aux législatives. « Il n’y a pas de sentiment de revanche, d’autant que ce ne sont pas les électeurs qui voteront », assure le maire (LR) de Saint-Cloud, Eric Berdoati.

Lui ne se reconnaissait pas dans la liste officielle des Républicains. « Il faut tirer les enseignements de ce qui s’est passé à la présidentielle et aux législatives », assume-t-il. Certain du désir de renouvellement de la classe politique. « Or, sur la liste officielle, les trois premiers noms sont les mêmes qu’en 2004, il y a 13 ans », tacle-t-il.

« La liste LR s’est auto-désignée, sans consulter aucun élu », critique l’édile (LR) du Plessis-Robinson, Philippe Pemezec, qui conduira une « liste des maires » aux côtés notamment de Georges Siffredi et Joëlle Ceccaldi­-Raynaud.

La division pourrait profiter à la liste UDI du sénateur-maire de Meudon, Hervé Marseille, qui se marre : « Pour une fois, ce sont les centristes qui font l’unité ! »

PCF, PS, EELV… la gauche déchirée

Car ce n’est pas à gauche qu’il faudra la trouver. Dans un contexte national nébuleux, le PS, mené par son patron dans le 92, Xavier Iacovelli, a un siège à défendre. « Nous sommes la force centrale face à la droite du département, assure-t-il. Nous avons la base électorale la plus forte. »

Ce n’est pas l’avis du conseiller général (PCF) Pierre Ouzoulias : « La liste PS ne représente qu’elle-même », égratigne celui qui conduira une équipe où l’on retrouve la sénatrice communiste sortante, Brigitte Gonthier-Maurin, mais surtout deux transfuges, qui se sont mis en retrait de leurs partis respectifs, Francis Poézévara (ex-PS), Carmelina de Pablo (ex-EELV).

Une brèche pour les Macronistes ?

Quid alors du mouvement En Marche, qui a raflé 10 circos (sur 13), aux législatives ? Son candidat, André Gattolin, avait été élu en 2011 sous les couleurs… d’EELV. Il mènera une liste composée de personnalités venues d’horizons très divers. « Ma numéro 2 vient des Républicains, mon n°3 de l’UDI, ma n°4 était au PS… » énumère le sénateur sortant, qui, s’il reconnaît un « potentiel électoral difficile à calculer », veut croire à sa réélection, voire au gain d’un deuxième siège LREM au Sénat.

Les listes dans les Hauts-de-Seine*

 

- Roger Karoutchi (liste LR officielle), Isabelle Debré, Jacques Gautier, Marie-Do Aeschlimann, Benoit Bouldoires, Nassera Hamza, Philippe Ribatto.

 

- Eric Berdoati (LR dissident), Alexandra Fourcade, Fabien Hubert, Sybille D’Aligny, Stéphane Pesic, Anne-Louise Mesadieu, Jean Prévost.

 

- Ingrid Desmedt (LR dissidente), Eric Justice, Nathalie Renault, Samuel Metias, Marie Luciot, Guillaume Sergent, Sophie De Lamotte.

 

- Philippe Pemezec (LR dissident), Christine Lavarde, Georges Siffredi, Joëlle Ceccaldi­-Raynaud, Rémi Muzeau, Nicole Goueta, Grégoire de la Roncière.

 

- Bernard Lepidi (LR dissident), Karin Schoubye, Jean-Charles Thouery, Alix Davonneau, Jacques Schleiffer, Sylvie Amouroux, Jean-Damien de Sinzogan.

 

- Hervé Marseille (UDI), Sylvie Mariaud, Philippe Laurent, Marie-Pierre Limoge, Étienne Lengereau, Christine Quillery, Laurent Vastel.

 

- André Gattolin (En Marche), Catherine Marle, Jean-François Rouzières, Martine Gouriet, Alexandre Bocquillon, Delphine Meric, Michel Rakotoanosy.

 

- Pierre Ouzoulias (FG-PC), Zahra Boudjemaï, Francis Poézévara, Carmelina de Pablo, Saliou Ba, Brigitte Gonthier-Maurin, Jean-Marc Feuillade.

 

- Xavier Iacovelli (PS), Thérèse Ngimbous Batjom, Thierry Besançon, Fabienne Gambiez, Vivien Gasq, Cécile Pavageau, Francis Pian

 

- Catherine Candelier (EELV), Rodéric Aarse, Marie-Claude Fournier, David Mbanza, Annie-Laure Hagel, Vincent Dubail, Ghizlaine Guessous.

 

- Laurent Salles (FN), Floriane Deniau, Tommy Anou, Julia Carrasco, Damien Yvenat, Lucia Laporte, Richard Croche.

 

*Elles doivent encore être validées par le ministère de l’Intérieur, d’ici au 15 septembre.
Comment ça marche ?

 

Contrairement à la présidentielle, aux municipales ou encore aux législatives, les sénateurs ne sont pas élus au suffrage universel direct, mais indirect. C’est-à-dire que les votants sont des « grands électeurs », qui ont préalablement été élus par les citoyens : il s’agit donc des députés, conseillers régionaux, départementaux et municipaux.

 

Leur vote est également obligatoire (sous peine d’amende). En revanche, comme pour les autres scrutins, chaque grand électeur se déplace dans son bureau de vote où il dispose d’un isoloir. Il vote alors pour une liste et les sénateurs sont désignés à la proportionnelle. 

 

Quand au sénateur élu, il représente l’ensemble de son département (et non une circonscription). Son mandat dure six ans. Le Palais du Luxembourg est renouvelé de moitié tous les trois ans.

Anthony Lieures (avec V.T.)  leparisien.fr

>Île-de-France & Oise>Hauts-de-Seine>Antony|Anthony Lieures (avec V.T.)|08 septembre 2017, 22h21 | MAJ : 11 septembre 2017, 10h55

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

lecolombesquejaime@free.fr

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Colombes - Inscription scolaire : le "parcours du combattant" des nouveaux parents qui habitent Colombes : "on se fait balader alors que dès le départ les dés sont pipés"

19 Septembre 2017, 12:00pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Colombes - Inscription scolaire : le "parcours du combattant" des nouveaux parents qui habitent Colombes : "on se fait balader alors que dès le départ les dés sont pipés"

Des nouveaux Colombiens qui sont aussi parents souhaitent s'exprimer sur le blog qui expliquer leurs mésaventures.

Il me semblait que la priorité de la Mairie était de rassembler les fratries et de prendre en compte la situation professionnelle des parents mais il semble que tel ne soit pas le cas pour ce jeune couple de Colombes.  

.....

"Suite à l’acquisition de notre pavillon début août, nous venons d’emménager à Colombes. Nous avions signé notre compromis de vente mi-avril. Cet emménagement à Colombes est un vrai choix de notre part en raison de notre proximité avec la ville (nous vivions jusqu’à présent à Bois-Colombes au 4 routes). Notre fille va entamé sa 4ème année de patin à glace au club de Colombes, notre fils va au théâtre près de la gare de Colombes, nous faisons nos courses à Colombes depuis près de 10 ans. Bref, nous nous sommes toujours senti chez nous a Colombes.

Une fois les délais légaux et les diverses obligations concernant l’achat de notre logement fini, quand nous avons eu la certitude que nous allions venir sur la ville, nous avons entamés les démarches pour inscrire nos enfants à l’école. La première "mauvaise" surprise fut de constater que notre fils irait dans une école maternelle n’appartenant pas au même groupe scolaire que sa soeur (en primaire). La deuxième est que nous habiterions a mi chemin entre ces 2 écoles mais que à proximité de l’école de notre fille une maternelle était présente (moins de 30m).

Mi-juin, nous nous sommes rendu en mairie pour inscrire nos enfants ou nous avons été bien accueilli mais très mal renseigné. Les papier d’inscriptions qui nous ont été donné était ceux pour le périscolaire, que nous avons renvoyé par e-mail. Malgré l’accusé réception, reçu de la mairie personne n’a jugé bon de nous indiquer qu’une erreur avait été commise. De plus, lors de cette première visite, nous avons expliquer notre problème d’écoles séparées et le personnel nous a vivement encourager à demander une dérogation.

Fin juillet, devant l’absence de document d’inscription, nous avons contacter la mairie. Notre dossier avait été jeté car incorrect (inscription périscolaire, demande de dérogation …). Après avoir tout re-rempli en urgence, le personnel présent ce jour nous a encore encouragé à demander une dérogation pour inscrire notre fils a proximité de sa soeur en nous disant que l’élu décide.

Arrivant à une semaine de la rentrée et sans retour de la mairie, nous avons tenté de joindre quelqu’un qui pourrait nous dire ou en était notre demande de dérogation. Après 3 jours de parcours du combattant (« c’est pas moi c’est madame… ou monsieur…", "laissez votre numéro je transmet », « je sais pas, c’est l’élu qui décide » ), nous avons fini par recevoir la réponse suivante : « Les dossiers doivent passer en commission, il fallait l’envoyer avant le 28 avril. N’étant pas de nature patiente, une certaine colère ma poussé a cette réflexion : Si le personnel municipale du service des inscriptions scolaires nous a encourager à demander une dérogation ("c’est l’élue qui décide, faites une demande directement » phrase entendue une bonne centaine de fois lors de ces derniers jours) alors que nous étions hors délai par rapport à la commission de dérogation, c’est soit que ce personnel n’a pas les compétences nécessaires pour gérer les demandes, soit qu’il n’a pas envie de s’en occuper, soit qu’il n’est pas au courant de l’existence de ses commissions, les rendant de fait caduques face a la loi. Après un grand nombre de coup de téléphones, ne pouvant admettre que nous étions hors d’un délai intenable vis à vis de notre situation, nous avons réussit, à 2 jours de la rentrée à avoir une explication de l’élue. Une commission existe bien mais sur les 12 demandes (en comptant la notre) de dérogation juste pour l’Ecole Camille Claudel vers Victor Hugo maternelle aucune n’est accordée faute de place. Commission fantôme ??? Je laisse a chacun la liberté d’apprécier.

Nous avons le sentiment profond de nous être fait balader alors que dès le départ les dés sont pipés. Une pure perte de temps et d’énergie. Notre fils étant à une année scolaire de rejoindre sa soeur, nous avons décidé de ne pas porté le dossier devant le tribunal administratif.

Mais si onze demandes de dérogations (12 avec la notre) rien que pour Camille Claudel —> Victor Hugo, combien de dérogations de Camille Claudel —> les autres écoles au totale ont été demandées et accordées ?? Je suis à peu près sur que le nombre de demandes se situe entre 30 et 40 (plus proche des 40 à mon avis, mais je peux me tromper) mais que le nombre d’acceptations se compte sur les doigts d’une main. Tout ceci remet en cause l’existence même de l’école Camille Claudel et son intérêt pour le publique. La notion de service publique adaptée au publique semble ici bien approximative. Peut être la mairie et l’éducation nationale devraient revoir l’implantation / carte scolaire et adapter le nombre de classe à la hausse dans les établissements demandés par les dérogations et diminuer celle de l’école Camille Claudel. Dans le privé quand un service n’est pas adapté aux clients, on s’adapte ou on perd ses clients. Au vu du montant des impôts que notre foyer paye chaque année, a l’état et aux communes, je considère que nous sommes clients du service publique. Le terme usagés, n’est qu’une excuse pour la fonction publique pour infantiliser les gens et rejeter sur eux les errances du système.

Dans tous les cas, mon épouse et moi même ayant des emplois du temps professionnels compliqués, nos enfants vont devoir subirent des journées a rallonge, un temps important passé au périscolaire et pour notre fille, jusqu'à 12 km (environ 2H) par semaine de marche supplémentaire pour accompagner son frère a l’école.

Bienvenue a Colombes"


 

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

Le Blog Citoyen de Colombes

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Colombes - Inscription scolaire : le "parcours du combattant" des nouveaux parents qui habitent Colombes : "on se fait balader alors que dès le départ les dés sont pipés"

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Urgent : un étudiant cherche formation en...

16 Septembre 2017, 13:40pm

Publié par Lionel FAUBEAU

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Urgent à faire circuler sur vos réseaux : un étudiant cherche formation en alternance de 24 mois pour un contrat de professionnalisation à partir du 7 octobre

15 Septembre 2017, 17:00pm

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Urgent : un étudiant cherche une formation en alternance de 24 mois pour un contrat de professionnalisation à partir du 7 octobre

 

contact :

 

MEFRE Romain
07 83 29 83 54

Romano.diallo@hotmail.fr

 

 

contrat de professionnalisation

 

Passionné par le commerce et la vente, je souhaite maintenant me former dans ce domaine pour y travailler dans le long terme.

 

Etant admis en BTS Management des unités commerciales, au sein de l’école IFCV, je suis à la recherche d’un contrat de professionnalisation pour la rentrée 2017, à partir du 7 octobre pour une durée de 24 mois.

 

Je serais a l’école du Lundi au Mardi et en entreprise du Mercredi au Vendredi.


J’ai choisi cette formation en alternance, sur une durée de 24 mois, car elle représente pour moi le moyen le plus efficace de mettre à profit mes connaissances et d’acquérir les savoirs pratiques nécessaires à l’obtention future de mon diplôme et la construction de mon début de carrière.


En alliant cours théorique et pratique je serai très opérationnel et compétent pour remplir toutes les missions que vous pourrez me confier. 

 

Organisé et polyvalent, je suis déterminé à me former rapidement et efficacement, et je suis prêt à m’investir totalement afin de mener à bien les tâches qui me seront confiées.

C’est avec plaisir que je vous exposerai de vive voix mes motivations au cours d’un entretien.

ROMAIN MEFRE

 

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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Urgent : un étudiant cherche une formation en alternance de 24 mois pour un contrat de professionnalisation à partir du 7 octobre

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Urgent : un étudiant cherche une formation en alternance de 24 mois pour un contrat de professionnalisation à partir du 7 octobre

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Rumeurs Urbaines, festival du conte et des arts du récit, 18e édition du 28 septembre au 27 octobre, programme complet sur www.rumeursurbaines.org

15 Septembre 2017, 11:10am

Publié par www.lecolombesquejaime.fr le blog citoyen de Colombes

Rumeurs Urbaines, festival du conte et des arts du récit, 18e édition du 28 septembre au 27 octobre, programme complet sur www.rumeursurbaines.org
 

 

Rumeurs Urbaines, festival du conte et des arts du récit revient du 28 sept. au 27 oct.
2017 pour une édition très spéciale puisqu’il fête ses 18 ans !

Pour célébrer son entrée dans l’âge adulte, la Compagnie théâtrale Le Temps de Vivre a concocté une édition majeure : un mois complet de fête à travers trois départements (92, 95, 78).

Rien de tel  pour réunir toutes les générations autour d'un cocktail de mythes, de légendes
urbaines et de récits de vie.

Devenez les invités de ce rendez-vous réjouissant et émouvant où se mélangent conteurs, chanteurs, musiciens… Et peu importe l’ivresse tant qu’elle est faite d’histoires !

Programme complet sur www.rumeursurbaines.org
 
Nous sommes aussi présents sur    rumeurs.urbaines (https://www.facebook.com/rumeurs.urbaines/?ref=aymt_homepage_panel)

 

 

Lionel FAUBEAU
Président de l'association lecolombesquejaime

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